Lachanson : opening de Fairy Tail Mon Instragram:
Le 1er but barcelonais est un chef d'oeuvre collectif mais est aussi marqué juste après le 1er but, dans un moment qui laisse à penser que le PSG n'avait pas tous ses esprits. thèse de la déconcentration a été avancée au moment du 1er but barcelonais. Quelques instants auparavant, David Luiz a ouvert le score et le but a été célébré par toute l'équipe, excepté Sirigu, en se réunissant dans un coin du terrain pendant que les 10 Barcelonais se replacent Sauf qu'au coup d'envoi, tout le monde est en place et on voit bien les 3 lignes parisiennes. La seule exception est l'inversion de Cavani et Pastore L'engagement est donné avec le ballon en retrait et on voit que les lignes parisiennes sont bien visibles et en place, comme celles de Barcelone Après deux passes, Iniesta est servi au milieu du terrain et on remarque déjà une certaine désorganisation Pastore, Verrratti et Motta vont vers le joueur pour l'encercler, Lucas n'y va pas alors qu'il est le plus près au départ tandis que Neymar décroche et est en partie suivi par Van der Wiel. A ce moment-là, on remarque également que Cavani est très haut sur le terrain. Bien pris sur l'image précédente, Iniesta a joué en retrait et le jeu est reparti côté droit dans les pieds de Rakitic. On constate déjà plusieurs choses Cavani est en retard vu qu'il était trop haut avant et Alves s'est enfui dans son couloir, Matuidi est obligé de venir en vitesse pour ne pas laisser Maxwell gérer un 2 contre 1. Au milieu, Motta est plus monté que les autres sur la passe en retrait d'Iniesta et est devenu la pointe haute du milieu, laissant la défense gérer un 4 contre 3, voire un 3 contre 3 vu que Maxwell voit l'action se développer sur son aile et commence à se déporter pour fermer le couloir. L'action s'est développée sur le côté droit et Cavani s'est rendu compte de son erreur de placement, il est revenu à grandes enjambées vers Rakitic. Ce dernier, le sentant arriver, envoie Daniel Alves au casse-pipe avec une passe qui le met en situation de 1 contre 3. Isolé, il centre et Maxwell dévie. Le centre est malheureusement récupéré par Rakitic qui ressert Alves et s'engage vers lui pour lui proposer une solution. Alves temporise et tente de trouver une solution avec Rakitic. Ils font quelques touches de balle dans ce coin du terrain puis constatent qu'ils ne passeront pas et Rakitic remet alors en retrait pour Mascherano 3 secondes environ après la capture. Côté PSG, le côté a été bien verrouillé grâce au retour de Cavani et les deux adversaires ont été isolés alors qu'ils avaient un temps d'avance au départ. Le ballon est repassé par Mascherano qui a immédiatement servi Iniesta de l'autre côté. A ce moment, l'axe et le côté droit du PSG sont plus ou moins placés comme précédemment, seul le côté gauche n'est pas aligné mais c'est en cours après la tentative barcelonaise précédente. On voit que Verratti commence à se déplacer vers Iniesta pour aller le presser. Iniesta a pris le ballon et s'est retourné vu qu'il est libre au départ, la montée de Verratti étant trop lente vers lui. Il arrive à servir Neymar qui a décroché lui aussi. A ce moment là, c'est déjà un peu la panique dans la défense parisienne. Van der Wiel court pour combler le décrochage de Neymar, Lucas regarde les choses se passer en se disant qu'il doit surveiller son couloir, Verratti sait qu'il est en retard et court avec Motta vers le ballon pour combler l'espace et enfermer Neymar Iniesta a vu Neymar et s'est appuyé sur lui tout en continuant sa course vers l'avant. On voit que Van der Wiel est toujours en retard sur Neymar et qu'il n'a pas pu combler l'avance du Brésilien au départ. Verratti a presque réussi à rattraper Iniesta, Motta est venu enfermer Neymar tandis que Matuidi s'est rapproché de Messi. Pendant ce temps-là, Lucas est toujours spectateur et ne voit pas que le couloir ne va pas être occupé par Alba mais par Iniesta. Neymar a réussi à trouver Messi dans un trou de souris, plein axe, pas assez gêné par Matuidi qui souffre de son retard lié au décalage à droite quelques secondes plus tôt. Van der Wiel a été aspiré par Neymar. Motta, venu contrer, n'a pas réussi dans cette mission, il est donc lui aussi éliminé par cette passe. Il reste alors Verratti qui tente de suivre Iniesta et Marquinhos qui ne peut pas se permettre de sortir trop sur le côté sous peine d'ouvrir complètement l'axe à Messi sur son meilleur pied Messi sert Iniesta qui est tout seul dans la surface et attire Marquinhos vers lui. Au milieu, l'amas de trois joueurs constitué de Motta, Van der Wiel et Matuidi est en retard et effacé. Neymar a scotché les deux premiers tandis que l'interception loupée d'un rien par Blaise a offert un peu d'avance à Messi qui se positionne dans une position rêvée. Messi a même pu s'avancer et reçoit un ballon en or qu'il ne va pas louper. A ce moment là, David Luiz tente l'impossible mais il a trop de retard au départ. Verratti a été spectateur sur toute la fin d'action, dépassé par la vitesse de l'enchaînement. Matuidi court derrière Messi mais il est lui aussi trop en retard, de même que Van der Wiel. Motta a compris et marche depuis son interception ratée sur Neymar. Neymar, justement, s'est déjà mis en route pour un éventuel second ballon, dernière preuve des nombreux temps de retard parisiens sur les Barcelonais. Au final, c'est dur d'affirmer que ce but est dû à de la déconcentration, la première partie de l'action étant très bien gérée malgré un léger retard au départ de Cavani. Sur la seconde partie, les quatre déplacements barcelonais Iniesta, Neymar, Iniesta de nouveau et Messi sont absolument parfaits, tant dans l'idée que dans la synchronisation. Ils profitent tour à tour de toutes les lacunes parisiennes le pressing au milieu déclenché trop tard et de façon trop isolée par Verratti, Lucas qui ne comprend pas que le latéral à surveiller va devenir Iniesta, l'espace laissé à Neymar et Messi entre le milieu et la défense par Motta et Matuidi et Van der Wiel qui ouvre la porte dans son dos.
Vous êtes ici Accueil Recherche Recherche... Question écrite N°30399 de Mme Typhanie Degois 15ème législature Ministère interrogé > Action et comptes publics M. le SE auprès du ministre Ministère attributaire > Action et comptes publics M. le SE auprès du ministre Question publiée au JO le 16/06/2020 page 4117 Réponse publiée au JO le 07/07/2020 page 4727 Texte de la question Mme Typhanie Degois alerte M. le secrétaire d'État, auprès du ministre de l'action et des comptes publics sur la mise en œuvre de la rupture conventionnelle dans la fonction publique d'État. Ce dispositif, prévu par la loi de transformation de la fonction publique du 6 août 2019, est expérimenté depuis le 1er janvier 2020. Il permet à un agent public, en cas d'accord mutuel avec son administration, de cesser définitivement ses fonctions et de percevoir une indemnité de rupture. Toutefois, malgré la publication des modalités de mise en œuvre de ce dispositif par deux décrets du 31 décembre 2019 relatifs à la procédure et à l'indemnité spécifique de rupture conventionnelle et de la mise à disposition de modèles de convention par arrêté du 6 février 2020, il apparaît aujourd'hui que certains fonctionnaires d'État souhaitant bénéficier de ce dispositif rencontrent des difficultés pour y accéder. En effet, l'administration dont ils dépendent et auprès de laquelle ils sollicitent cette rupture conventionnelle, leur indique être en attente de la publication de précisions concernant les modalités de mise en œuvre de ce dispositif afin, notamment d'évaluer le montant de l'indemnité de rupture et de donner suite à leur demande. Dès lors, certains agents ne reçoivent pas de réponse à leur sollicitation, alors même que le décret de mise en œuvre de ce dispositif indique que l'agent doit être reçu par son supérieur hiérarchique ou par l'autorité disposant du pouvoir de nomination, entre 10 jours et 1 mois après réception de sa demande, afin d'établir les modalités de rupture conventionnelle. Cette situation est particulièrement préoccupante car le déploiement de la rupture conventionnelle dans la fonction publique d'État a justifié la suppression, effective au 30 juin 2020, du système d'indemnité de départ volontaire prévue pour les agents publics qui démissionne afin de créer ou de reprendre une entreprise. Aussi, sans précision sur les modalités d'application de la rupture conventionnelle, une situation de vide juridique risque d'apparaître pour les agents souhaitant quitter la fonction publique d'État après le 30 juin 2020. Dès lors, elle lui demande que soient clarifiées les conditions de mise en œuvre de la rupture conventionnelle dans la fonction publique d'État, notamment s'agissant du montant de l'indemnité de rupture, afin de permettre aux agents publics qui le souhaitent de mener leur projet de reconversion. Texte de la réponse L'article 72 de la loi n° 2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique instaure, à compter du 1er janvier 2020, une procédure de rupture conventionnelle dans la fonction publique, par laquelle l'administration et un agent public peuvent convenir d'un commun accord de la fin de leur relation de travail. Ce nouveau dispositif, précisé par les décrets n° 2020-1593 et n° 2020-1596 du 31 décembre 2019, crée un nouveau cas de cessation définitive des fonctions pour les fonctionnaires, à titre expérimental, et un nouveau cas pérenne de rupture du contrat pour les agents contractuels recrutés sur un contrat à durée indéterminée. La rupture conventionnelle, décidée d'un commun accord, ne peut pas être imposée par l'une ou l'autre des deux parties. Elle ne constitue donc en aucun cas un droit pour l'agent qui la sollicite auprès de son administration ni un moyen pour l'administration d'imposer un départ à un agent public. Cette nouvelle possibilité de rupture du lien de travail ouvre à l'agent le bénéfice d'une indemnité spécifique de rupture conventionnelle ISRC, exonérée d'impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux, ainsi que de l'allocation d'aide de retour à l'emploi dans les conditions prévues par la réglementation. Le montant de l'ISRC est précisé dans la convention de rupture, dans le respect des montants minimum et maximum fixés par le décret n° 2019-1596 précité. A l'instar du dispositif applicable au secteur privé, il appartient donc aux cocontractants de fixer ensemble le montant de cette indemnité. Cette latitude n'est en aucun cas un facteur de blocage puisqu'elle permet aux administrations d'adapter les conditions de la rupture conventionnelle à la situation individuelle de la rupture de la relation de travail. La fixation d'un éventuel barème pour l'ISRC serait au contraire de nature à limiter la latitude de négociation des parties et encouragerait tant les agents que les employeurs à considérer la conclusion d'une rupture conventionnelle comme un droit acquis. Il n'est donc pas prévu d'imposer un barème réglementaire. Il appartient aux employeurs de déterminer leur doctrine d'emploi de la procédure de rupture conventionnelle et en particulier de sa dimension indemnitaire, en lien avec l'ensemble des autres politiques de ressources humaines. Il est tout à fait compréhensible qu'un temps d'adaptation ait été nécessaire aux employeurs pour ajuster leurs processus RH à ce nouveau dispositif et il est tout à fait concevable qu'un employeur ne souhaite pas promouvoir la rupture conventionnelle au regard de ses préoccupations budgétaires ou en matière d'attractivité RH. Cependant, le cadre réglementaire ne saurait être invoqué comme un motif pour refuser l'examen des demandes effectuées dans les formes requises par les agents publics. Il appartient à l'employeur d'apporter une réponse à ces demandes, qu'elle soit positive ou négative. La rupture conventionnelle constitue une nouveauté importante dans les modes de gestion RH de l'administration, en particulier dans la latitude donnée aux employeurs s'agissant du montant de la rupture conventionnelle. C'est pourquoi la direction générale de l'administration et de la fonction publique a élaboré un plan d'accompagnement des employeurs pour en faciliter l'appropriation élaboration d'un document d'explication du dispositif, mise en place d'une adresse mail dédiée pour répondre aux questions des services RH, organisation d'ateliers. Cet accompagnement ne constitue toutefois pas un préalable pour les employeurs, le cadre réglementaire étant suffisant pour permettre de traiter les demandes de rupture conventionnelle.. 40 233 78 435 488 265 317 37