Jete dirai seulement: va te faire voir N'espĂšre mĂȘme plus une parole de mes lĂšvres Tu viens de me plonger dans le noir En choisissant de mettre fin Ă  notre trĂȘve. Comment ai-je pu ĂȘtre aussi naĂŻve et pourtant, je me suis toujours mĂ©fiĂ©e Ă  passer ma vie sur le qui-vive mais j'ai reculĂ© par peur de t'aimer. Je te dirai seulement: tu es un bel enculĂ© et moi une belle sotte, de mettre

Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Creed Chanson My Sacrifice ‱Album Weathered Traductions français ✕ traduction en françaisfrançais/anglais A A Mon sacrifice Bonjour mon amie, nous nous rencontrons Ă  nouveau Ça faisait longtemps, par oĂč devrions-nous commencer...j'ai l'impression que ça fait une Ă©ternitĂ© Il y a dans mon coeur le souvenir de l'amour parfait que tu m'as donnĂ© Oh, je me souviensLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrificeNous avons eu notre lot de hauts et de bas Oh, la vie peut changer si rapidement...en un instant C'est si bon d'ĂȘtre rĂ©uni avec soi-mĂȘme et dans son esprit Trouvons la paix en cet endroitLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrificeJe veux seulement te dire bonjour une autre fois Je veux seulement te dire bonjour une autre foisLorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Lorsque tu es avec moi Je suis libre...je n'ai pas de soucis...je crois Nous volerons plus haut que tous les autres Et ça me fait monter les larmes aux yeux Mon sacrifice Mon sacrificeJe veux seulement te dire bonjour une autre fois Je veux seulement te dire bonjour une autre fois My Sacrifice ✕ Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de My Sacrifice » Collections avec My Sacrifice » Music Tales Read about music throughout history
Regardemoi, tonight, je ne sais plus comment faire Pour te dire que malgrĂ© tout je vois Ce feu dans tes yeux qui m'appelle chaque fois All right, j'irais briser les frontiĂšres Qui me tiennent prisonnier loin de toi Si tu peux m'entendre d'oĂč tu es, dĂ©livre-moi J'aurais voulu te dire pourquoi je t'aime Tous ces baisers que tu m'as donnĂ©
Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal Immortel Paris L'Ange-Cornu +2SunieAriana6 participantsAller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageArianaNombre de messages 123Ordre Seth...Date d'inscription 20/08/2007Sujet Comme jadis... Dim 24 Jan 2010 - 1709 La seth Ă©tait confortablement installĂ©e, assise dans l'un des salons privĂ©. Elle devinait que son compagnon prĂ©fĂšrerais l'ambiance plus rĂ©servĂ©, et surtout, l'absence de regards dĂ©sagrĂ©ables. Bien assise sur les coussins moelleux, car chaque salons avaient un ameublement diffĂ©rent, elle buvait tranquillement un verre d'absinthe, souriant de ses dents de fauve, sa langue fourchue de vipĂšre dardant l'air autour d'elle. DĂ©cidĂ©ment, elle se sentait bien a Paris. Mais il faisait trop froid...dĂ©cidĂ©ment. Et dans ces moments ou la tempĂ©rature extĂ©rieure Ă©tait trop basse, la seth se trouvait dans un Ă©tat semi comateux, seul ses yeux se dĂ©plaçant, observant les alentours. LovĂ©e, elle attendait. Et qui d'autre que ClĂ©menceau venait la dĂ©ranger aurait affaire a elle...Mais qui voudrais se frotter a une dame a l'allure d,assassin? Et comme il n'y avait que trĂšs peu de moltanor en ville, pas la peine de s'angoisser. Rare Ă©tait les immortels qui apprĂ©ciait la compagnie des seths et de leur allure de serpents. Et ce n'Ă©tait pas aujourd'hui qu'ils allaient faire diffĂ©rent. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Ven 29 Jan 2010 - 1848 La lourde porte de l'Ange Cornu s'ouvrit aprĂšs un court Ă©change verbal entre le portier et quelqu'un qui cherchait apparemment Ă  entrer. Sunie passa alors le cadre pour enfin rĂ©ussir Ă  entrer dans l'auberge d'immortels, Ă  peine eu-t-elle fait un pas que, tout en fermant la porte, SamaĂ«l lui dit"Je doute d'avoir fait le bon choix en te laissant entrer, j'ai une mauvaise impression Ă  ton propos, sans compter que ton mot de passe n'est plus valide. La seule chose qui fait que je te laisse entrer est que tu est une immortelle sans aucuns doutes et que ton visage me dit quelque chose, n'oublie pas le mot de passe que je viens de te dire car je ne serais pas aussi clĂ©ment la prochaine fois."Sunie acquiesça et observa un peu l'intĂ©rieur avant de s'y avancer. Elle avait changĂ©, Ă  peine quelques mois avaient passĂ©s depuis que Vilya lui avait rendu l'usage de ses jambes et elle marchait dĂ©jĂ  comme avant. Sa silhouette avait changĂ© d'autant qu'elle arrivait Ă  se tenir droite maintenant, sa posture ne trahissant plus son ancien handicap. Elle portait un Ă©pais manteau de fourrure de castor qui lui arrĂȘtait aux genoux pour se tenir au chaud. Ses cheveux noirs semblaient avoir encore pris en taille, arrĂȘtant autrefois Ă  ses hanches, elle les arboraient maintenant jusqu'Ă  la mi-cuisse tout en les laissant dĂ©tachĂ© en permanence. Elle portait son traditionnel maquillage rouge et avait fait particuliĂšrement attention Ă  ne pas manquer un seul trait. Un Ă©tui de cuir sous le bras elle se dirigea vers une table libre prĂšs du centre de la salle et s'y assis, laissant son manteau sur le dossier de la chaise voisine. Elle portait une grande robe entremĂȘlĂ©e de rouge vin et de noir dans laquelle elle Ă©tait sublime. Cela n'empĂȘchait pas la majoritĂ© des gens dans la salle de la regarder comme si elle fut une humaine, c'est-Ă -dire comme si elle ne collait pas au dĂ©cor et n'avait rien Ă  y faire. Quelques personnes Ă©changĂšrent de courtes phrases afin de savoir si quelqu'un la connaissait, ceux qui Ă©taient plus loin semblaient soit curieux ou ennuyĂ© par son absence d'aura. Ceux qui Ă©taient plus prĂšs semblaient plus sur les nerfs, agressifs voir, car son aura ne collait avec aucune de celle qu'elle devrait avoir en tant qu'immortelle. Elle ouvrit son Ă©tui et le regard de plusieurs passa de l'agacement au questionnement lorsqu'elle en sortit son violon. Celui-ci, au contraire de sa propriĂ©taire, n'avait pas changĂ© pour un sou, fait de l'Ă©bĂšne de la meilleure qualitĂ©, avec ses reliures de bronze reluisantes et ses gravures en or. l'archet qui suivit Ă©tait beaucoup plus banal, un archet des plus normal qui pouvait ĂȘtre achetĂ© pour une poignĂ©e de francs probablement. Sunie regarda autour d'elle un instant et remarqua que la plupart des regards Ă©taient fixĂ©s sur elle, la majoritĂ© Ă©taient curieux mais certains demeuraient alertes, prĂȘts Ă  tout. Sunie se leva debout et plaça le violon sous son menton et porta lentement l'archet sur les cordes, elle testa dĂ©licatement chacune d'entre elle, toujours et encore accordĂ©es. Elle laissa ensuite le flot de ses Ă©motions guider l'archet, la chanson n'Ă©tait pas joyeuse, ni triste, la peur, le rejet et la mĂ©lancolie y Ă©tait omniprĂ©sente mais on pouvait y trouver l'espoir. Tant d'Ă©motions Ă©taient charriĂ©s par le son du violon, tranquillement les gens se rassirent, Ă©coutant la mĂ©lodie bien que certains n'eut aimĂ© pour rien au monde le violon, ils Ă©coutaient tout de mĂȘme, l'endroit devenant silencieux d'un seul coup. Sunie l'ignorait mais son violon avait la facultĂ© de catalyser sa prĂ©sence, rendant le son non pas hypnotique, mais le rendant capable de transmettre les Ă©motions. Ă  cet instant son aura Ă©tait presque palpable, si fort mais fragile Ă  la fois, il ne quittait pas la salle toutefois, le son ne pouvant porter son pouvoir plus joua durant un bonne dizaine de minutes, n'arrĂȘtant de jouer que lorsqu'elle en sentit le besoin. À ce moment, tout les gens de la salle et mĂȘme certains des salons Ă©taient prĂ©sents et Ă©coutaient, certains avaient les larmes au yeux, d'autres semblaient perdus dans leurs souvenirs, aux moments de leur longue vies marquĂ©s par ces Ă©motion. Une fois terminĂ© elle rangea l'archet puis le violon dans l'Ă©tui et se rassit, laissant les gens revenir Ă  eux-mĂȘme, son aura se rĂ©sorbant lentement suite Ă  l'arrĂȘt de la musique. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 31 Jan 2010 - 1544 Le portier eut une crise de cƓur lorsqu'il vu l'ange de la mort. Il atterrit devant l'ange cornu comme un ange noir, sorti tout droit des cieux. Ses ailes noires et son regard froid. Cypher plongea son regard dans celui du mortel, la voie caverneuse de la crĂ©ation rĂ©sonna dans le crĂąne du pauvre homme "Soit tu ouvre cette porte, soit je te tue et je l'enfonce avec ton cadavre."l'homme fixa devant le Valkar armĂ© de sa faux. Il n'avait pas l'air de bonne humeur. Samael... tĂ©taniser par le colosse qu'il avait devant lui ouvrit. "Je ne veux pas tuer ta race, mais je viens simplement chercher quelqu'un. Si tu fais quoique ce soit, je te tuerais. J'exterminerai Ă©galement, les immortels que tu cache dans ton refuge. SI tu ne veux pas de bain de sang, tu ferme ta gueule et tu me laisse faire mon travail."Il garda le mĂȘme regard froid en passant Ă  cĂŽtĂ© du portier. La figure fantomatique du Valkar avança Ă  travers les tables. Les immortels regardĂšrent la crĂ©ature sans trop savoir quoi penser. Il Ă©tait pied nu, ne portait qu'une toge comme vĂȘtement. Son regard Ă©tait vide, sans par l'Aura de sa proie, Cypher, avança jusqu'Ă  la table de Sunie. Il resta plantĂ© devant, le corps droit comme une barre de fer et le visage sans la moindre traces d'Ă©motions. Machinalement, il finit par dire d'un ton froid et direct "Vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre, immortelle hybride." VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 1701 Vigortsen avait Ă©tĂ© surpris d'entendre un violon. Il sortit des toilettes oĂč il Ă©tait allĂ© se dĂ©barbouiller puisque rentrant d'une poursuite d'un criminel mortel qui c'Ă©tait terminĂ©e pour se dernier derriĂšre les barreaux. A peine fut-il sortit qu'il reconnu Sunie, SA Sunie, jouant sur un superbe violon en Ă©bĂšne. Il s'adossa Ă  la porte, en retrait dans l'ombre pour ne pas la perturber et fut embarquĂ© par les sentiments de sa jeune arrĂȘta de jouer, il resta dans le vague des Ă©motions durant quelques minutes, l'observant s'asseoir sur sa chaise. Il fini par se dĂ©cider Ă  la rejoindre lorsqu'un immortel aux sombres ailes et Ă  la feau menaçante s'approcha d'elle. Il n'aimait pas ce personnage pieds nus vĂȘtu d'un bout de tissu crasseux, il l'aima encore moins lorsqu'il entendit ce qu'il dit Ă  Sunie. *Qu'est-ce que c'est que cette histoire de rendez-vous?* Se dit-il amĂšrement. L'instinct lui conseilla d'ĂȘtre mĂ©fiant, aussi dĂ©cida-t-il de se diriger vers la porte du en marchant, il glissa une main dans la poche droite de son manteau et referma la main sur la paire de menottes. Il se dĂ©plaçait silencieusement, l'air de rien. Son comportement ne pouvait le trahir puisqu'il avait l'habitude de suivre ses cibles et que jamais il n'avait Ă©tĂ© repĂ©rĂ©. Lorsqu'il passa Ă  quelques mĂštres dans le dos de l'immortel ailĂ©, il jeta un regard Ă  sa douce et lui fit un clin d'oeil. Ce petit signe disait *Ne t'inquiĂšte pas, je suis lĂ *. Il attrapa sa biĂšre sur la table et s'adossa Ă  un pilier, seulement cinq mĂštres derriĂšre toujours dans la poche fermĂ©e sur les menottes, il attendit prĂšs Ă  bondir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 2029 Cypher regarda l'arriver de virgotsen d'un air froid et impassible. Il vu de coin de l'Ɠil cette ĂȘtre peu plaisant. Il Ă©tait sur ses gardes. Comme de nombreux immortels dans l'auberge d'ailleurs. Il gardait nĂ©anmoins le regard sur Sunie. Il parlait machinalement en gardant un ton froid. "Je me rĂ©pĂšte, vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre Aemon Targaryan. Sur son ordre, je dois vous mener Ă  lui. Je n'ai pas reçût de directive sur la maniĂšre de vous conduire Ă  lui. Je ne cherche pas Ă  faire un massacre, mais les ordres de mon maĂźtre sont immuables. Je vous demande donc de me suivre, de votre plein grĂ©. Sans quoi hĂ©las, je devrai prendre des parla Ă  l'attention de la foule. "Je n'ai aucune instruction sur vous, immortels. Je ne suis venu que pour reconduire madame. Je ne pense pas que personne ici n'a d'objection ? d'ailleurs, la dĂ©cision vous reviens." SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1347 Sunie terminant de ranger son violon lorsque SamaĂ«l laissa entrer un ĂȘtre Ă©trange qui ne semblait pas ĂȘtre le bienvenu. On aurais dit un cadavre tant sa peau Ă©tait terne et ses habits laissaient vraiment Ă  dĂ©sirer. Il avait quelque chose de terrifiant, sa posture, son ton, mais surtout sa faux ne lui donnaient pas un aspect trĂšs commode. Lorsqu'il se dirigea vers elle Sunie se figea, que pouvait-il bien lui vouloir. Lorsqu'il s'adressa Ă  elle, son ton lui glaça le sang, il Ă©tait plat et fixe, comme une machine et cet homme connaissait ses origines hybridĂ©s, qu'Ă©tait-il donc. Il lui dit qu'elle avait un rendez-vous avec quelqu'un puis, lorsqu'elle ne lui rĂ©pondit pas, il ajouta que ce n'Ă©tait pas un rendez-vous mais bien une demande Ă  ne pas refuser. Il ne semblait pas trĂšs amical, menacer la foule d'immortels prĂ©sents dans l'ange cornu n'Ă©tait pas une mince affaire. Elle avait vu Vigo, quand elle avait croisĂ© son regard celui-ci lui avait fait un clin d'Ɠil pour qu'elle sache qu'il Ă©tait lĂ  et prĂȘt Ă  agir. Sunie rassembla tout son courage et s'adressa au valkar lui faisant face"Je suis dĂ©solĂ©e de vous dire que votre *rendez-vous* ne m'intĂ©resse pas, je ne connais pas votre maitre et je n'ai donc rien Ă  lui dire, en plus vous me parlez sans vous prĂ©sentez et vous voulez que je vous suive sans discutions, non mais quel manque de classe. Vous croyez vraiment que je vais suivre quelqu'un d'armĂ© et qui me menace sciemment d'utiliser la force si je suis contre. Partez d'oĂč vous venez oiseau de malheur, vous gĂącher l'ambiance."Sunie ne savait pas trop si c'Ă©tait une bonne idĂ©e de refuser mais elle n'allait tout de mĂȘme pas suivre cette chose qui semblait ĂȘtre un valkar mort. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1712 Vigortsen grimaça lorsqu'il entendit la rĂ©ponse de Sunie, cela ne prĂ©sageait rien de particuliĂšrement bon. Si le valkar l'Ă©nervait trop, il risquait de voir Liliana prendre le contrĂŽle, et lĂ  tout aussi puissant qu'il fĂ»t c'est Ă©tait fait de lui, Ă  coup voici que l'autre s'adressa Ă  toute l'assemblĂ©e. Lorsqu'il demanda si quelqu'un voyait une objection Ă  se qu'il embarque Sunie, Vigo s'Ă©tait dĂ©jĂ  Ă©lancĂ©. N'Ă©tant qu'Ă  cinq mĂštres et dans une salle basse de plafond, le Valkar pour peu qu'il remarque Vigo qui se trouvait dans son dos, ne pourrait user de ses ailes. Mais Ă  la vue de la distance qui les sĂ©paraient, de l'habiletĂ© de Vigo Ă  fondre en silence sur sa proie et du fait que l'autre lui tournait le dos, c'Ă©tait presque impossible qu'il fasse quelque chose, d'autant que l'endroit Ă©tait fort allait user d'une technique d'apprĂ©hension fort peu commune. Il allait user du poids du valkar contre lui. Au dernier instant de sa course, il fit une glissade afin de faucher les chevilles de l'oiseau maudit. Cela comportait plusieurs le valkar sautait juste avant que vigo ne le fauche, ne pouvant user de ses ailes, il retomberait sur lui, mettant ses chevilles Ă  portĂ©es des rĂ©ussissait Ă  se rattraper plus ou moins aprĂšs avoir Ă©tĂ© fauchĂ©, Vigo n'aurait qu'Ă  tendre la main pour lui passer les menottes aux tous se passait comme prĂ©vue, le valkar tomberait en arriĂšre et viendrait s'emprisonner tout seul dans les menottes, grace Ă  son propre le valkar Ă©tait assez rĂ©actif pour sauter en avant, Vigo le cueillerait Ă  l'atterrissage grĂące Ă  une sautait en arriĂšre, se serait encore plus facile, il lui suffisait d'attendre que les chevilles passent Ă  portĂ©es de ses passer les menottes Ă©tait LA spĂ©cialitĂ© de trĂšs rapide, l'effet de surprise Ă©tait total du fait de l'attaque totalement silencieuse que Vigo tous les cas, Vigo avait fait sortir sa lame de sa manche, prĂšs Ă  l'utiliser si besoin ce qui normalement ne devait pas ĂȘtre le cas. Si tout se dĂ©roulait bien, Vigo aura passĂ© les menottes avant mĂȘme de devoir user de sa lame. En thĂ©orie, le valkar n'avait aucun moyen d'Ă©chapper aux menottes grĂące Ă  cette attaque et une fois qu'il serait prisonnier ne serais-ce que de l'un des bracelets, tous ses pouvoirs seraient annulĂ©s. Il deviendrait simple mortel ailĂ© et armĂ© d'une valkar Ă©tait idiot. En entrant dans la taverne, il annulait sa plus grande force, celle de Ă©dition par Vigortsen le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 300, Ă©ditĂ© 2 fois CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1853 Cypher regarda la demoiselle, il n'en avait vachement rien Ă  faire. Il Ă©couta les paroles de l'hybride sans la moindre expression faciale. Il en avait rien Ă  foutre de la ramener en morceau. il allait poursuivre sa conversation lorsque Virgotsen fonça en direction de l'immortel. il effectua un placage, dans un plus grand des silences, avantages que les sens amĂ©liorĂ©s de Cypher soit toujours actifs. il effectua donc son placage et tenta de faucher les chevilles du Valkar. Sa tentative de placage ne s'effectua cependant pas, comme il l'avait prĂ©vu. Lorsque l'attaque principal de Virgotsen fut effectuĂ©, Cypher d'une simple action de pensĂ© activa sa vitesse surhumaine. ContrĂŽlant celle-ci avec la maĂźtrise d'un MarĂ©chal, il propulsa son corp d'un saut rapide et ne utilisant son dernier pouvori de cĂ©lĂ©riter plana un peu un plus loin. Il contourna avec une agilitĂ© et une vitesse surprenante le corps de Virgotsen qui ce relevait de son placage. Avec une vitesse surnaturelle, il lui porta un coup de pied ossature mĂ©lange entre du titane et de l'acier - poids total du corps environ 3 tonnes. Il stoppa directement Ă  quelques dizaines de mĂštres du Luna. il avait peu ĂȘtre perdu ses ailes, mais la cĂ©lĂ©ritĂ© d'ArnĂ©us Valkar avait Ă©tĂ© sa spĂ©cialitĂ©. DerniĂšre Ă©dition par Cypher le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 1549, Ă©ditĂ© 1 fois SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 10 FĂ©v 2010 - 2343 Sunie ne vit pas Vigo se prĂ©parer et fut surprise lorsqu'il s'attaqua Ă  ce drĂŽle d'oiseau. Mais lui apparemment ne fut pas surpris le moins du monde et esquiva sans mal l'attaque tout de mĂȘme bien planifiĂ© de Vigo. Ce n'Ă©tait pas tant sa vitesse de rĂ©action qui l'Ă©tonna mais la force avec laquelle il envoya Vigo valser contre le mur en un seul coup de pied. Sur le coup Sunie figea sur place, il venait tout de mĂȘme de frapper son amant mais pourquoi avait-il fait cela. Puis une fraction de seconde plus tard elle Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© de lui pour essayer de le rattraper avant qu'il ne tombe au sol. Comment elle avait fait cela, elle n'en avait pas la moindre idĂ©e, mais elle rĂ©ussit, sans toutefois rattraper Vigo, Ă  empĂȘcher celui-ci de se cogner lourdement Ă  terre. À peine la scĂšne reprenait sa vitesse normale et que les gens s'exclamaient de ce qui venait de se passer que Sunie Observait Vigo sous toutes ses coutures pour voir s'il Ă©tait blessĂ©."Vigo, ca va, pourquoi t,a fait ca, fallait pas, ca va?"Elle resta ainsi dos Ă  Cypher afin de s'occuper de Vigo, elle n,en Ă©tait pas moins alerte mais son amant Ă©tait peut-ĂȘtre blessĂ© et elle tenait Ă  s'occuper de lui s'il Ă©tait blessĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2024 Vigortsen ne compris pas complĂštement ce qu'il se passa. Il reçu un coup de pied extrĂȘmement violent qui l'envoya voler un peu plus loin, il s'Ă©crasa contre le mur, mais grĂące Ă  une paire de mains, il ne s'Ă©croula pas trop mĂ©chamment au sol. C'est donc un peu sonnĂ© et les cottes endoloris qu'il se redressa sous le regard de Sunie."Ca va, ça va, merci. Il frappe fort le bougre."Il posa sa main sur l'une des Ă©paules de Sunie et nota la couleur jaune de ses yeux. Il se redressa, chancela briĂšvement avant de se mettre debout puis regarda Sunie. Il lui parla dans un murmure Ă  peine audible mĂȘme pour elle."DĂšs que tu le peux, sauve toi et fonce chez moi, je te rejoins."Puis immĂ©diatement aprĂšs, il se tourna vers le "valkadavre", se postant devant sa compagne. Il avait eu suffisamment de rĂ©flexes pour ne pas lĂącher ses menottes lors de son Ă©chec. En revanche, il avait eu beaucoup de chance de ne pas s'empaler lui mĂȘme sur sa propre plongeĂąt ses yeux dans ceux de l'oiseau et ce dernier pouvait y lire la dĂ©termination et la colĂšre."Au cas ou cela t'aurais Ă©chappĂ© oiseau de malheur, elle ne veut pas te suivre. Si ton maitre veut lui parler il n'a cas se bouger le cul au lieu d'envoyer son chien de garde. Menacez encore une fois ma compagne et vous ĂȘtes une volaille morte qui me servira de dĂ©jeuner Ă  NoĂ«l."Il Ă©tait bien remontĂ© et attendit la rĂ©ponse Ă©ventuelle de l'autre. Il reculait doucement vers la porte en poussant Sunie dans cette direction, toujours en se tenant entre elle et le valkar. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2126 [i]Cypher fut trĂšs surprit de ne pas avoir causĂ© plus de dĂ©gĂąts. Dommage... il aurait aimĂ© rendre le combat rapide. Puis, il vu l'immortel qui s'Ă©levait devant lui. Bravoure ? Cela ne voulait rien dire pour l'ancien Valkar. " Tu parle immortel ? Dommage que de part mon coup, je n'aille pas couper ta langue. Sa m'aurait Ă©viter d'entendre tes menaces. Moi un simple poulet ? Je te trouve bien faible, pour voir Ă©tĂ© projeter si loin, par une simple poule. D'ailleurs, j'ai trĂšs mauvais goĂ»t. De nombreux immortels, s'y sont cassĂ©e bien des dents. "Lorsque Virgotsen poussa Sunie vers la porte, l'ange de la mort poussa un soupir. Il regarda rapidement le plafond... deux Ă©tages... hummm...plancher de bois verni ? " Elle peut courir, mais elle ne peut rien contre moi, ou mon maĂźtre. TĂŽt ou tard, mon maĂźtre viendra la quĂ©rir. Alors ? Tu vas t'Ă©carter ? OĂč je vais ĂȘtre obligĂ© de dĂ©truire ton code gĂ©nĂ©tique ? Je n’ai aucune objection Ă  te combattre, mais mon devoir n'est pas de te tuer."[/i] Aemon TargaryenNombre de messages 115Date d'inscription 07/11/2009Sujet Re Comme jadis... Mar 16 FĂ©v 2010 - 009 Une ombre Ă©tait poster dans la pĂ©nombre. L'attente Ă©tait terrible mais le grabuge Ă  l'intĂ©rieur de l'Ă©tablissement laissait prĂ©sager que le plan avait bel et bien mis en marche pour la capture de l'hybride. À la moindre vue de la sortie de celle-ci l'ombre entrerait en action. Attendant sa proie avec impatience avec une salve d'anesthĂ©siant dans ses deux mains au moindre cri Marcus se tenait prĂȘt ainsi que Targaryen juste sur le mur oĂč menait la porte que sa crĂ©ation avait emprunter. Bien sur il pourrait entrer mais il valait mieux passer inaperçu pour le moment. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 17 FĂ©v 2010 - 1149 Sunie recula derriĂšre Vigo et le laissa la pousser vers la porte, aprĂšs tout comment pouvait-elle espĂ©rer faire quoique ce soit, elle n'utilisait ses pouvoirs que de façon instinctive et souvent ceux-si ne voulaient pas fonctionner lorsqu'elle le voulait. Leur position n'Ă©tait pas prĂ©caire mais vu la vitesse Ă  laquelle le valkar bougeait, elle pouvait le devenir bien vite. Sunie regardait le dos de Vigo, se rappelant toutes les cicatrices qu'elle y avait vu, voulait-elle vraiment qu'il se risque Ă  en cumuler une autre, ou pire. Mais elle savait qu'aller avec cette chose qui ressemblait Ă  un valkar ne pouvait que lui amener des problĂšmes, peu importe qui Ă©tait son maitre, elle ne voulait pas finir comme cet homme. Mais que faire?Soudain tout devint noir, un noir d'encre insondable, seule une petite lueur rouge brillait au loin, semblant ĂȘtre Ă  des kilomĂštres. En un clin d'Ɠil la lueur Ă©tait devant elle, une belle orbe rouge sang similaire Ă  du verre, la lumiĂšre provenait du plus profond de la petite sphĂšre qui devait ĂȘtre grosse comme le poing. Sunie tendit la main vers celle-ci et entendu une voix, la voix qu'elle damnait Ă  chacune de ses pertes de contrĂŽle, la voix de sa NĂ©mĂ©sis, Liliana."Alors, dans le trouble encore une fois?"Elle ne semblait toutefois pas aussi haineuse qu'Ă  l'habitude, plutĂŽt irritĂ©e et ironique. Sunie ne savait pas trop quoi faire, elle regarda autour, Ă  perte de vue il n'y avait rien, pas de sol, pas de murs, que cette petite orbe. Qu'allait-elle donc faire avec elle, Ă  chaque fois qu'elle lui parlait elle se sentait faible et Liliana lui volait les commandes mais cette fois il n'en Ă©tait rien."Alors, il t'as coupĂ© la langue sans que tu t'en rendre compte?""Non, qu'est-ce que tu veux salle garce."Liliana Ă©clata de rire"Alors, tu n'as rien d'autre Ă  faire que m'insulter? Qu'est-ce que tu compte faire contre cet espĂšce de valkar, pleurer, demander Ă  maman de venir t'aider? Pour une fois que je te demande ton opinion, t'as pas Ă  te plaindre.""Quelle sournoiserie es-tu en train de me faire cette fois? OĂč est-ce qu'on est en premier, pourquoi tu n'a pas pris le contrĂŽle tout de suite comme Ă  ton habitude espĂšce de pute.""Mais ma parole, arrĂȘte de me jeter des compliments, tu va me faire rougir. Je t'offre de l'aide et tu ne semble pas comprendre que je suis autant en danger que toi, Ă  ce que je sache on a encore le mĂȘme corps, non? Alors tu va me laisser contrĂŽler pour lui foutre une raclĂ©e parce que ton baiseur professionnel d'amoureux m'a... BlessĂ©e avec ses menottes Ă  la con, normalement je crois que nous devrions nous voir face Ă  face en reflets de miroirs, voilĂ  ce qu'il me reste, pas beaucoup j'en consent mais je suis encore lĂ  et moi je les contrĂŽle les pouvoirs, pas toi.""Et alors, ce n'est pas ton corps, c'est le mien, Ă  chaque fois oĂč tu prend le contrĂŽle tu fout tout en l'air et tu fait des choses qui me dĂ©goutent. Et si tu est si faible, comment tu ferais pour garder le contrĂŽle de toutes façons."C'est lĂ  le problĂšme j'ai besoin de toi, je ne dit pas que je t'aime et t'embrasserais, j'ai besoin de toi et sa s'arrĂȘte lĂ . Tu as tout ce qu'il me manque prĂ©sentement, le contrĂŽle, l'Ă©nergie, la vigueur, vois tout ce qu'il me reste, je peux Ă  peine survivre. Et je ne voudrais pas jouer les casse-pieds mais si je meurs tu ne vaudra pas mieux, tu mourras aussi. Alors, devant l'impasse, il ne reste qu'une seule option, accepte moi, intĂšgre moi, ne faisons qu'une, nous serons plus fortes et tu pourra survivre, n'essaye pas de dire qu'il y a une autre issue, tu l'as goutĂ© aussi bien que moi, il y a une autre personne de l'autre cĂŽtĂ© de la porte, les effluves de l'air de mentent pas."Sunie se tut, elle avait raison... mais qui lui disait que ce n'Ă©tait pas une autre de ses sournoiseries bien mieux planifiĂ©e que les autres, aprĂšs tout n'Ă©tait-ce pas sa spĂ©cialitĂ©, mentir et tromper? Il y avait beaucoup Ă  perdre qu'elle dise oui ou non, ce valkar ou bien la garce qui partageait son corps, ne restait qu'Ă  savoir lequel reprĂ©sentait le plus grand mal."Alors tu dit que tu veux m'aider, pourquoi, qu'est-ce que tu as Ă  y gagner quelle conneries vas-tu faire?""Rien, pense-tu vraiment que je puisse faire quoique ce soit aussi affaiblie? Je prend ton estime comme un compliment mais j'ai Ă  peine la force de me garder en vie, encore moins celle de te dominer comme Ă  l'habitude, fait moi confiance, je ne pourrais pas faire plus de dĂ©gĂąts que ce que j'ai dĂ©jĂ  fait."AussitĂŽt que Liliana prononça le mot confiance Sunie Ă©clata de rire"Moi, te faire confiance? PlutĂŽt mourir aprĂšs une longue agonie."Liliana soupira, Sunie ne semblait pas comprendre Ă  quel point sa situation Ă©tait prĂ©caire, ses forces s'amenuisant Ă  simplement lui parler, la taille de l'orbe diminuant peu Ă  peu. Pour la premiĂšre fois SUnie lut de la franchise et non de la malice dans la voix de Liliana"Écoute, c'est ta derniĂšre chance, si tu ne dit pas oui je vais mourir et tu peux parier que je t'emmĂšne avec moi dans la tombe. Sois tu accepte de devenir une seule personne avec moi ou tu meurs avec moi, n'est-ce pas simple.""Tu as l'air tellement sincĂšre que je te croirais, si seulement tu ne m'avais pas pourrie la vie autant, peut-ĂȘtre que j'aurais dit oui, maintenant laisse moi partir d'ici."Un autre soupir de la part de Liliana"TrĂšs bien, tu me pousse dans mes derniers retranchements. Ne dit pas que tu ne l'aura pas cherchĂ©."L'orbe fonça alors sur Sunie, la percutant Ă  la poitrine, projetant celle-ci Ă  une distance qui lui sembla incroyable. Lorsque Sunie se releva elle ne voyait plus la sphĂšre rouge mais la lueur semblait Ă©mettre de son propre corps dĂ©sormais. Sunie se demandait quelle sournoiserie Liliana avait encore commise, lorsqu'elle se sentit mal, sa tĂȘte semblant vouloir exploser tant la douleur Ă©tait ceux qui l'observait, Sunie sembla absente quelques fractions de secondes, le regard dans les vapes. Puis elle s'effondra sur le sol sans plus de cĂ©rĂ©monies, son aura disparaissant d'un seul coup, ses yeux affichant alors la seule couleur qu'ils n'avaient jamais pris, le noir. Quiconque aurait pris le temps de regardĂ©, il aurait constatĂ© qu'elle ne respirait plus . Graduellement, son corps s'enveloppa d'une fumĂ©e noire et malodorante disparaissant de vue en quelques secondes. La fumĂ©e, toutefois, n'arrĂȘta pas son avancĂ©e et se rependit tel un tapis de brume sur le sol de l'auberge. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 FĂ©v 2010 - 1810 Son regard dorĂ© transperçait littĂ©ralement le valkadavre de ses reflets jaune comme deux Ă©tincelles devant un chalumeau, prĂȘts Ă  cracher de gigantesques flammes. Si ses yeux n’étaient pas particuliĂšrement terrifiants, on devinait une bonne puissance et une trĂšs forte dĂ©termination. Ainsi, le dĂ©nommĂ© Cypher put lire dans ces yeux que s’il voulait embarquer Sunie de force, une lutte terrible Ă©claterait en prĂ©ambule. C’est l’un des pouvoirs que confĂšre l’amour, celui de multiplier la force, la puissance et la dĂ©termination lorsque l’ĂȘtre tant aimĂ© est menacĂ©. De la mĂȘme maniĂšre qu’une mĂšre est prĂȘte Ă  donner sa vie pour sauver ses enfants, un amant irait jusqu’à condamner son Ăąme pour sauver sa distinguant tout cela dans les yeux de Vigortsen, le valkar put noter une autre chose, l’absence totale de peur, ce qui le rendrait encore plus farouche et dĂ©terminĂ©. Il put Ă©galement sentir que si l’amoureux de Sunie devait frapper, ce serait pour faire sentait sa douce reculer dans son dos, mais il sentait Ă©galement qu’elle le faisait avec hĂ©sitation. Aussi, passa-t-il sa main gauche dans son dos et attrapa celle de l’hybride qu’il serra fort. Il tourna alors la tĂȘte, gardant son Ɠil droit sur le valkar et lui murmura quelques mots. - Je t’ais jurĂ© que jamais je ne laisserais personne te faire du mal et que je ferais tous pour que l’on ne t’en fasse pas. Ne m’empĂȘche pas de tenir ma promesse quelle qu’en soit l’issue. »Il serra un peu plus fort encore la douce et tiĂšde main avant d’ajouter - Je t’aime mon cƓur. »Alors reprit le bras de fer que les deux immortels se lançaient du regard. Puis Vigo sentit quelque chose. Un bruit retentit derriĂšre lui, un bruit inquiĂ©tant. Il se retourna brusquement pour voir sa belle Ă©croulĂ© au sol, sa cage thoracique ne bougeant plus. Elle ne respirait devint comme fou et se jeta Ă  genou Ă  ses cĂŽtĂ©s. Ses yeux, noirs comme les tĂ©nĂšbres, une couleur qu’il ne leur avait jamais vue et qui lui glaça le sang. Une larme perla et c’est dans une rage titanesque qu’il se redressa, lentement avant de faire face Ă  l’auteur prĂ©sumĂ©. Pour lui, seul le valkadavre pouvait ĂȘtre responsable de cet Ă©tat. Il avait due user d’un pouvoir obscur quelconque et maintenant sa raison de vivre, son cƓur Ă©tait visiblement morte. - Qu’as-tu fais engeance dĂ©moniaque ? Que lui as-tu fais ? TU ES MORT ! »Les derniers mots avaient Ă©tĂ© prononcĂ©s dans une sorte de rugissement. Une voix mĂȘlant humain et loup. Vigo ne dĂ©sirait plus qu’une unique chose, atomiser le piaf. Aussi laissa-t-il sa place Ă  son second lui, un Ă©norme loup-garou couleur de l’or de prĂšs de deux mĂštres cinquante de haut. A la grande surprise de Vigo, il put garder le contrĂŽle de la bĂȘte ce qui Ă©tait habituellement impossible. Il se rendit alors compte que sa fureur Ă©tait telle que l’ñme de la bĂȘte Ă©tait terrĂ©e dans son coin, ne se rendit pas immĂ©diatement compte de la fumĂ©e noire et poussa un rugissement de fureur pure qui fit trembler le bĂątiment. La gueule grande ouverte, il dĂ©voila ses dents dont les plus grandes, les canines Ă©taient de la taille d’un poing fermĂ© du valkar. Son hurlement durant vingt bonnes secondes, secouant toutes les personnes prĂ©sentes et leur hĂ©rissant le poil. Puis il fit claquer sa mĂąchoire dans un CLAC » sec et la fumĂ©e lui enveloppa les pattes arriĂšre et il se retourna de avait disparue, invisible dans les volutes de cette Ă©trange fumĂ©e noire. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 20 FĂ©v 2010 - 2021 Deimos... SaletĂ© de cochonnerie. Comment... ah oui, elle est hybride. Cypher ce questionna un moment, Quel clan Ă©tait-elle ? Enfin... Cypher d'un puissant coup d'ailes, propulsa l'air. Comme un grand Ă©ventail, il propulsa la fumĂ©e dans le coin de la salle. Cette tentative avait pour but de simplement faire disparaĂźtre la fumĂ©e. Il regarda un court instant le plafond... Bonne idĂ©e. Puis... le Luna dans un rugissement bestial, transforma son corps en forme de guerre. Contrairement aux Sadizar, les Luna contrĂŽlaient leur forme de guerre. Au moins, les menottes ne serait plus un problĂšme, comment pourrait t'il les utiliser avec des aussi grosse pattes ? Cependant, les griffes de Virgotsen... risquait de lui faire mal. Durant les 20 secondes, ou le Luna hurlait, il en profita pour s'injecter une seringue. Puis d'une voie grave " En plus d'ĂȘtre une erreur de la nature, tu est complĂštement stupide. Tu pense me vaincre ? Parfait. Cependant, tu sera mort pour rien. Je n'ai rien fait Ă  cette hybride, elle a simplement utiliser le pouvoir de Deimos, des SĂ©thites. Tu veux donc toujours de battre ? BĂȘte ?"Il chargea sa cĂ©lĂ©ritĂ©, concentra son pouvoir et prĂ©para son corps Ă  esquiver. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mar 2 Mar 2010 - 1314 Le temps Ă©tait flou, depuis combien de temps Ă©tait-elle lĂ , qui Ă©tait-elle donc, laquelle des deux femmes dont elle avait les souvenir Ă©tait vraiment elle, comment savoir? D'ailleurs que c'Ă©tait-il passĂ©, pourquoi n'arrivait-elle pas Ă  se rappeler qui elle Ă©tait, ce qui venait de se passer ou encore tout ce qui prĂ©cĂ©dait ses interrogations. Tout cela Ă©tait des plus Ă©trange, comment cela pouvait-il arriver. Elle se dĂ©cida finalement Ă  ouvrir ses yeux mauves et fut surprise de ne voir qu'une sorte de brume noire, oĂč pouvait-elle bien ĂȘtre. Au bout de quelques secondes le brouillard se dissipa et elle pu voir ce qui l'entourait, elle ne fut pas Ă©tonnĂ©e de voir tant de gens tout comme de voir cette Ă©trange crĂ©ature poilue devant elle ou encore cet Ă©trange homme ailĂ© plus loin. Qui pouvait donc ĂȘtre tout ces gens? Elle rĂ©flĂ©chit quelques instants puis se rĂ©signa Ă  chercher dans les souvenirs Ă©tranges et sans sens des deux femmes qu'elle semblait si bien connaitre. Elle chercha une Ă©ternitĂ© qui ne dura qu'une seconde puis rĂ©ussit Ă  se faire une semblant d'idĂ©e sur le pourquoi elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait venu jouer d'un instrument de musique qu'une des deux femmes savait trĂšs bien utilisĂ© puis l'homme aux ailes Ă©tait venu la voir en causant toute une commotion auprĂšs des autres personnes prĂ©sentes. Il faisait peur Ă  la femme avec l'instrument de musique mais pas Ă  la seconde qui semblait dĂ©terminĂ©e Ă  lui casser la gueule au sens propre du terme. Ensuite la bĂȘte poilue qui grognait devant elle face Ă  l'homme oiseau Ă©tait au dĂ©part un homme qui avait tentĂ© d'attaquer ledit homme oiseau sans grand succĂšs, s'attirant les foudres de la jeune femme au violon qui semblait tenir Ă  cette seconde de rĂ©flexion, elle s'assit lentement par terre, le dos contre le mur, ignorant les personnes autour ou leurs rĂ©actions, qu'avait-elle Ă  en faire de toutes façons. Elle chercha alors encore dans les souvenirs des deux femmes et vit qu'elle Ă©tait Ă  Paris, une grande ville... elle chercha immĂ©diatement ce que voulait bien pouvoir dire une ville et cueillit quelques concepts dans les souvenirs parfois clair de la jeune femme au violon, Sunie, ainsi se faisait-elle appeler puis dans ceux plus nĂ©buleux, incomplets et emplis d'Ă©motions noires de Liliana, l'autre femme. Une seconde passa pour toute la durĂ©e de ses recherche, mais qu'est-ce qu'une seconde pour elle, qu'est-ce que cela reprĂ©sente vraiment pour son esprit troublĂ© par l'absence de tout souvenir ou premiĂšre fois elle regarda autour d'elle et vit d'Ă©tranges choses qui soutenaient d'autres choses tout aussi Ă©tranges que deux ou trois personnes calmes portaient Ă  leur bouche. Comme les fois prĂ©cĂ©dant elle chercha dans les souvenirs de ses deux jeunes femmes et trouva ses rĂ©ponses, une table et un verre, apparemment des choses banales qui Ă©taient construites pour un but utilitaire. Mais qui Ă©tait-elle?Pourquoi Ă©tait-elle?OĂč?Pourquoi...hrp, dĂ©solĂ© pour le dĂ©lais, des Ă©vĂšnements dans la vie rĂ©elle m'ont volĂ© mon inspiration pour un temps hrp VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1247 Lorsque le valkadavre se mit Ă  battre de ses ailes dĂ©charnĂ©es, La fumĂ©e se retira lentement. Bien conscient que c’était la pire des choses Ă  faire, Vigo se retourna pour voir si Sunie Ă©tait toujours lĂ . Personne ne pouvait savoir en cet instant Ă  quel point il Ă©tait soulagĂ© de la voir s’asseoir contre un mur. Elle semblait totalement perdue mais au moins Ă©tait-elle en vie. La pression de l’adrĂ©naline redescendit d’un coup dans les veines de l’homme Ă  la vue du magnifique corps de sa chĂšre et tendre intacte. RassurĂ©, il fit un bond pour se tenir de nouveau face Ă  l’oiseau mal faisant et grogna lorsqu’il parla. Une fois que son adversaire eu terminĂ©, Vigo se dressa de toute sa hauteur et rĂ©pondit d’une voix rauque, grave et gutturale Ă  la limite du grognement. Je ne suis pas plus une erreur de la nature que toi. Je suis un Luna et toi un Valkar. Seulement tu n’es qu’un chienchien enragĂ© Ă  la botte de ton maitre prĂšs Ă  commettre des atrocitĂ©s pour t’attirer les gratitudes d’un ĂȘtre qui te tient en laisse. Un Valkar vient en aide aux faibles, il ne les attaque pas. Ton maitre n’est pas un Dieu qui a le droit de dĂ©cider de la vie des autres. S’il veut Sunie il lui faudra me tuer mais cela lui coutera la vie. De mĂȘme pour toi ose seulement l’effleurer et je rĂ©duirais ton squelette en poussiĂšre pour ensuite emballer le tout dans tes ailes en lambeau. Quiconque approchera Sunie avec des intentions nĂ©fastes apprendra ce qu’est la colĂšre d’un loup-garou. »Comme pour confirmer ce qu’il venait de dire, Vigo empoigna une table qu’il lança en direction du valkar de toute sa force. Autant dire que si le piaf n’arrivait pas Ă  l’esquiver, il se retrouvera projeter contre le mur du fond dans lequel il finirait incrustĂ©. Joli tableau en perspective. A l’instant mĂȘme oĂč il eu lancĂ© ladite table, Vigo se tourna vers sa dulcinĂ©e et l’attrapa avec son Ă©norme patte gauche. Il avait Ă  peine attrapĂ© la jeune femme qu’il plongea son regard dans celui de Sunie et qu’il lui dit rapidement Ne t’en fais pas ma Sunie, je vais te sortir de lĂ . »Surement put-elle voir dans l’or de ses yeux la sincĂ©ritĂ© de ses mots et l’amour qu’il avait pour elle, mĂȘme en cet instant 
 s’élança alors Ă  une impressionnante vitesse au vue de sa masse pas loin de 800 Kg vue sa taille en direction de la cuisine. Ainsi il pourrait fuir par la porte de derriĂšre sans avoir Ă  tourner le dos au valkar. Si le valkadavre se plaçait devant lui, il goutterait de sa patte et de ses griffes dont un seul coup l’enverrais assurĂ©ment voler sur prĂšs de dix mĂštres. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1838 Thilix dormait dans le fond de l'ange cornu et tout le raffut l'avait rĂ©veillĂ© mais il aimait la scĂšne qui se passait devant lui, une bataille Ă©tait imminente c'Ă©tait sĂ»r puis ça Ă©clata, le Luna Ă©tait en furie, le Valkar sur ses gardes, il adorait regarder les combats comme dans le ColisĂ©, ça lui rappelait le bon vieux temps ou il Ă©tait une des attractions prĂ©fĂ©rĂ©e de tous. Puis sa vodka se renversa Ă  cause de toute l'action, ce fĂ»t la pire erreur qu'ils avaient pu faire depuis le Pourriez-vous sortir? Moi pas vouloir dĂ©truire endroit ici, toujours ĂȘtre confortablement installĂ© et autres immortels pas faire chier moi mais si vous faire conneries dans cette place moi ĂȘtre obliger de sĂ©vir. Et quand moi ĂȘtre fĂącher moi pas ĂȘtre gentil gentil. Toi homme aux ailes, doit savoir ça! Et moi me foutre de tes griffes! Parce que toi pas ĂȘtre assez puissant contre moi! Alors moi ĂȘtre gentil aujourd'hui et demandez gentille ment, mais une seule fois, aprĂšs c'est le dĂ©sastre!Il regarda Cypher un moment puis maintenant la bĂȘte qui Ă©tait Ă©norme puis se retourna s'asseoir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 7 Mar 2010 - 1831 Cypher entendant la voie, du Sadizar qui l'avait battu, resta de marbre. Il avait un Loup Garou or en face de lui. "Tu gaspille ton talent Luna, tu est comme ceux de ta race territoriale et bestiale. Je te conseille de me remettre la fille, avant que ce combat ne soit nĂ©faste pour nous deux. Tu va essayer de me tuer ? Tu ne ressortira pas indemne de ce combat. Je peux te le jurer. Mon maĂźtre veux que je l'amĂšne Ă  lui. Ses intentions, je m'en balance. Puis le lycan, propulsa vers lui une table. Le Valkar, esquiva avec cĂ©lĂ©ritĂ©, le projectile improvisĂ© avec aisance et Ă  plus de 50km/h, propulsa son corps Ă  la poursuite du Loup. Il lui laissa nĂ©anmoins assez d'avance au Luna pour le laisser sortir par la porte de derriĂšre. Lorsqu'il furent a l'extĂ©rieur, il envoya en direction du Garou un coup de faux, allongeant la lame de celle-ci afin qu'elle lui tranche, derriĂšre les genoux. En utilisant une vitesse surhumaine et une prĂ©cision critique. Il voulait que le Loup Garou, tombe Ă  la renverse. Le combat n'Ă©tait pas terminĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 924 Le sadizar pouvait bien tenter quelque chose mais mĂȘme puissant comme il l'Ă©tait, si Vigo le percutait dans sa course il pouvait ĂȘtre sĂ»r d'avoir au moins le souffle coupĂ©. Mais le loup-garou n'en avait cure, il filait vers la porte qu'il ne prit mĂȘme pas la peine d'ouvrir, passant au travers comme s'il eu s'agit d'une tapisserie. Elle vola en Ă©clat qui se dispĂšrsairent un peu avait fait une dizaine de pas lorsqu'une trĂšs forte douleur le prit au genou gauche, genou qui cogna le sol, devenu faible. Pour le coup, le valkar allait vraiment avoir des problĂšmes. Vigo poussa un hurlement de rage et de douleur tellement monstrueux que tous ceux qui l'entendire durent sentir tous les poils de leur corps se fermemant Sunie contre lui, il usa de sa jambe droite pour sauter de deux bons mĂštres vers la feau qu'il empoigna de sa patte qu'il eu refermĂ© ses griffes sur le manche, il usa de toute sa force pour propulser le valkar contre un mur oĂč il espĂ©rait qu'il s'Ă©craserait. ImmĂ©diatement aprĂšs, il parti aussi vite que possible pour ramener Sunie chez lui afin qu'elle soit en lieu sĂ»r."Je ne t'abandonnerais pas Sunie, mĂȘme si je dois en mourir." CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 1833 Bordel... Son coup avait marchĂ©. Cypher fut propulsĂ© vers l'arriĂšre, intelligent le bestiaux. Cependant Voyant la force extrĂȘme dont disposait le Luna, le Valkar n'eu hĂ©las pas la vitesse d'esprit pour rĂ©agir aussi vite que lui. Il fut propulser directement sur le mur de l'Ange Cornu. Le corps de Cypher s'enfonça de quelques millimĂštre dans le mur. Le coup n'avait pas vraiment sonnĂ© le Valkar... Qui reparti aussitĂŽt Ă  la poursuite du Luna. Son but Ă©tait de rĂ©cupĂ©rer le colis... en vu du Luna, avec sa vitesse surhumaine, il propulsa en sa direction ses deux dagues en visant une fois la gorge et la seconde fois le jambes. Avec la grande vitesse ou ce dĂ©plaçait la bĂȘte... il lui serait trĂšs facile avec cette douleur d'ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©. De toute façon, un seul dart de son maĂźtre et l'immortel Ă©tait Ă  terre. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 13 Mar 2010 - 052 Elle ne bougea pas durant tout ce temps, Ă  quoi bon rĂ©agir, pourquoi rĂ©agir, elle ne faisait que se faire transporter dans les pattes d'une loup gĂ©ant et un homme ailĂ© semblait vouloir quelque chose. Étrangement, cela n'avait rien d'Ă©trange pour elle, aprĂšs tout, qu'en savait-elle. Elle laissa donc le loup la prendre et faire ce qu'il voulait pendant qu'elle cherchait encore Ă  comprendre ce qu'elle Ă©tait ou qui elle Ă©tait dans les souvenirs des deux femmes qu'elle semblait connaitre comme si elle avait Ă©tĂ© l'une d'elle a un moment puis l'autre ensuite. Puis le gros loup lui parla, il l'appela Sunie, comme la jeune femme qui savait jouer du violon, Ă©tait-elle celle-lĂ  alors? Mais dĂšs que cette pensĂ©e vint Ă  son esprit elle la rejeta, comment pouvait-elle ĂȘtre cette Sunie si elle en possĂ©dait les souvenirs mais rien d'autre. Elle ne rĂ©pondit donc pas au loup, ignorant en dĂ©duit donc qu'il devait la prendre pour une autre, peu-ĂȘtre que les deux femmes dont elle avait les souvenirs Ă©taient des jumelles et que sa jumelle Ă©tait cette Sunie... Puis elle se ramena Ă  l'ordre, elle cherchait une rĂ©ponse lĂ  oĂč il n,y en avait peut-ĂȘtre pas, mieux valait ne penser Ă  rien et attendre que les gens lui expliquent ce qui se passaient. Puis elle se rendit compte que plus elle fouillait les souvenirs des autres et utilisaient leurs concepts plus elle arrivait Ă  comprendre ce qui l'entourait. Elle profita de la cohue pour fouiller plus profondĂ©ment dans les souvenirs des deux femmes apparemment opposĂ©es. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 959 MalgrĂ© sa blessure, Vigo avançait vite, trĂšs vite. Pour soulager sa patte blessĂ©e, il s'Ă©tait baissĂ©, usant de sa patte avant droite. Coup de chance, il vit une dague passĂ©e lĂ  ou sa tĂȘte se trouvait une demi-seconde avant. Il sentit en revanche trĂšs bien la seconde lui percer la bruit qui suivit fut un mĂ©lange de chute sourde et de grognement. La lame l'avait dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et il avait juste put faire une vrille pour ne pas tomber sur Sunie, la collant contre son ventre il s'Ă©crasa sur le dos. Il savait qu'il pouvait continuer et encaisser encore nombre de blessures du fait de son imposante carrure, mais la prioritĂ© Ă©tait de protĂ©ger sa belle. Une idĂ©e lui vient alors Ă  l'esprit. Elle valait ce qu'elle valait, mais autant se mit Ă  hurler de façon Ă  ce que sa voix porte jusque dans l' SUNIE EST L'AMI DE VILYA ET CE VALKAR UN DEMON QUI LUI VEUT DU MAL! AIDEZ MOI A LA PROTEGER JE VOUS EN insupportable de devoir presque supplier ainsi, mais comme c'Ă©tait pour SA Sunie, il pouvait mettre son honneur dans sa se releva alors et retira la dague de sa cuisse avant de la propulser de toutes ses forces vers le valkadavre. Il baissa la tĂȘte vers la jeune femme et dans un souffle, il lui effleura le front de son gros il se mit en position debout, parĂ© au combat Ă  mains nues. Sur ce terrain, lĂ , il avait fois en ses capacitĂ©s et le valkar aurait du soucis Ă  se faire. Il se mis en position dĂ©fensive, en attente que l'autre attaque, colant Sunie contre jeune femme Ă©tait relativement bien protĂ©gĂ©e des potentiels coups puisque contre le ventre doux et chaud du loup-garou et enroulĂ©e dans la massive et puissante patte de Cypher venait attaquer, il se ferait trĂšs gravement amocher par les puissant coups de pattes et de griffes que distriburait seule chose pire qu'un Luna en colĂšre, c'est un Luna dĂ©fendant sa compagne. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 1023 -HAhahaha! Ça fait bien longtemps que moi pas avoir battus! Au moins 2 heures! Pourquoi pas!?Puis le grand Thilix sortit de la place et s'avança tranquillement jusqu'au cadre de porte pour regarder la bataille et savoir quel bord prendre, parce qu'un bord perdant n'est jamais intĂ©ressant selon lui. Il ne s'Ă©tait pas du tout rendu compte d'Aemon qui attendait lĂ -bas tranquillement et non plus de tout cette merde qui l'entourait, c'Ă©tait encore cette sorte de crĂ©ature qui avait essayer de tuer son amour, mais il y avait cet homme qui avait appelĂ© son nom, qui Ă©tait-ce? Il n'en avait aucune idĂ©e mais il Ă©tait massif et si il mourrait il pourrait rĂ©cupĂ©rer les os et... Mais en mĂȘme temps il Ă©tait dĂ©chirĂ© par le choix de tuer Cypher qui avait quasiment assassinĂ© sa bien-aimĂ©e. Il restait lĂ  et ne disait plus un mot. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Mar 2010 - 1242 Cypher resta de glace, il recula de quelques mĂštres lorsque son attaque rĂ©ussit. Il ne voulait pas risquer, une attaque du Luna. MalgrĂ© son ossature de mĂ©tal, les griffes des Luna Ă©taient capable de trancher des mĂ©taux, donc... pas vraiment conseillĂ© d'en recevoir les coups. Sa cĂ©lĂ©ritĂ© lui permettrai d'esquiver de nombreux coups mais il n'en suffit que d'un dague fut propulsĂ© Ă  une vitesse excessive en direction de Cypher. Il Esquiva de justesse sa propre dague, qui termina sa trajectoire sur le mur. Lorsque Cypher entendit le Fauve hurler Ă  l'aide, il n'Ă©tait pas trĂšs Ă  l'aise. Que Thilix, un Sadizar puissant viennent aidĂ© une Luna ? Ce-lĂ  tiendrais de la fable. De plus comment le Luna avec pu savoir que Thilix et Vilya Ă©tait ensemble ? Encore une fois le nom de Vilya rĂ©sonna dans sa tĂȘte, comme une mine d'un temps passĂ© qui explose au moment ou on ne s'y attend pas. Il ramassa sa faux. " Tu manque de courage Luna ? Tu appel Ă  l'aide ? Remet moi la fille. Mes ordres, ne sont pas de te faire la peau. RĂšgle tes comptes toi-mĂȘme. Ta mĂšre ne sera pas toujours derriĂšres toi. Garde ta fiertĂ© de mĂąle."Il posa sa faux sur ses Ă©paules et attendit."Tu ne peux rien faire, Luna. Ta bien-aimĂ© est bien trop prĂ©cieuse Ă  nos yeux. Elle sera traquĂ© toute sa vie, par les immortels aussi bien que par les mortels. Tu lui Ă©viterait bien des tourments, si simplement tu nous la remet sans faire d'histoire. D'autre que nous viendrons... jours aprĂšs jours, la meilleur chose que tu a Ă  faire c nous la donner. Je te garanti, qu'elle sera traitĂ© avec dignitĂ©. Tu semble ĂȘtre un Luna puissant, sert toi de ta sagesse au lieu de tes muscles."Le ton de sa voie avait changĂ©, formulant les mots de maniĂšres normale. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Comme jadis... Comme jadis... Page 1 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Sujets similaires» Comme c'est beau les champs...Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumImmortel Paris L'Ange-CornuSauter vers
ï»żSanscesse, je veux te dire merci, mon Dieu, parce que tu as agi. Devant tes amis fidĂšles, je mets mon espoir en toi, car tu es bon.
-33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageJackie-Lyz Becker ◼ messages 289 ◼ date d'inscription 08/11/2010 ◼ occupation uc ◼ envie uc ◼ copyrights uc ◼ pseudo Chicken LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES ‱ Jake. Sam 13 Nov - 054 Jake & Ally-JaneVingt heures trente quatre, Ally-Jane aurait dĂ» ĂȘtre chez elle. Au lieu de ça, elle Ă©tait sur un parking, dans sa voiture, galĂ©rant Ă  la faire dĂ©marrer. C'Ă©tait assez frĂ©quent chez la demoiselle, ayant une voiture des plus dĂ©munie. Il fallait aussi avouer, qu'avec un temps comme celui lĂ , oĂč toutes les voitures du parking Ă©taient complĂštement gelĂ©es et que le chauffage de la super voiture d'Ally ne marchait plus depuis un bon moment, il fallait s'attendre Ă  des pannes rĂ©guliĂšres. Elle serait bien rentrĂ© Ă  pied, mais le froid Ă©tait ingĂ©rable et puis, il Ă©tait tard, elle n'aimait pas se promener seule dans mes rues. Ça l'Ă©nervait. Et cela se voyait. Et dans son habitude et dans ses paroles. Elle Ă©tait impatiente, ça c'est sĂ»re, mais lĂ  ça devenait grave, elle en avait marre. Ayant marre de la situation qui se prĂ©sentait, elle quitta son vĂ©hicule fermant la porte,mais prenant son sac avant de partir. Pourtant elle aurait pu appeler un de ses amis qui l'aurait sĂ»rement aider Ă  sortir de cette galĂšre, mais chercher son tĂ©lĂ©phone portable qui Ă©tait perdu au fond de son sac, Ă©tait une Ă©preuve fatiguante pour la jeune femme qui avait passĂ© une dure journĂ©e. Alors ne serais-ce le fait de chercher une chose, Ă©tait difficile pour elle, alors marcher jusqu'Ă  son domicile, ça l'Ă©tait encore plus ! Errant dans les rues de Sydney, elle glissa lentement ses mains gelĂ©es dans ses poches remplies d'un tas de choses. Alors que ses pas s'accĂ©lĂšrent , ses paumettes devĂźnt alors rapidement rose. Il faisait froid, le temps changeait de jour en jour. Tandis que les feuilles continuaient de tomber rapidement, l'hiver arrivait Ă  grand pas. AJ dĂ©ambula donc dans les rues, ses cheveux voletaient lĂ©gĂšrement dans le vent. Ses yeux contemplaient avec envie toutes ses vitrines ou Ă©taient exposĂ©es de nombreux vĂȘtements qu'elle brĂ»lait d'envie d'acheter. Elle se mordilla la lĂšvres infĂ©rieure tandis que ses yeux parcouraient les tenues exposĂ©es sur des mannequins en cire. C'Ă©tait fort tentant, heureusement – ou plutĂŽt dommage – pour elle que les magasins Ă©taient fermĂ©s depuis longtemps Ă  cette heure-ci. LĂąchant prise, elle continua son chemin marchant de plus en plus rapidement. Il faisait dĂ©jĂ  nuit et les rues Ă©taient quasiment vides. Ont pouvait y voir, quelques personnes en dessous d'un tunnel, un ou deux couple assis sur un banc et quelques personnes sortant des restaurants. Pour faciliter son chemin mais, pour arriver plus vite Ă  son domicile, elle se dirigea vers une petite ruelle, qu'elle avait l'habitude d'emprunter. A vrai dire, c'Ă©tait la premiĂšre fois depuis son retour qu'elle prenait ce chemin et, elle remarqua que ça avait bien changĂ© depuis. C'est en arrivant au bout de cette petite rue, qu'elle tomba nez Ă  nez, avec une personne dont elle n'avait plus l'habitude de croiser. Une personne avec qui elle avait perdu contact et avec qui elle essayait de renouer les liens. Elle dĂ©glutit. Ses yeux parcoururent chaque parcelle de son visage, chaque contour Ă©tait minutieusement scrutĂ© par les yeux perçants de la jeune femme. Elle se serait crĂ» dans un rĂȘve et pourtant, il s'agissait bien de la rĂ©alitĂ©. En cette froide soirĂ©e, jamais elle n'aurait pu imaginer croiser Jake. Ou bien si, mais c'Ă©tait si rare qu'elle tombe nez-Ă -nez avec lui. Cela lui faisait quelque peu bizarre. Elle ne savait pas si elle devait rire ou pleurer, sourire ou non, le regarder ou dĂ©tourner ses yeux. Tout se bousculait dans sa tĂȘte. oh.. salut .. Jake ». dit-elle timidement. C'Ă©tait difficile d'Ă©changer des mots avec une personne qu'on avait trahie, pire qu'on avait abandonnĂ©. Il fallait bien l'avouer, Jake comptait Ă©normĂ©ment pour Ally-Jane, jamais elle n'aurait pu continuer son chemin sans parler Ă  l'homme, qui avait pendant des annĂ©es, partagĂ© son cƓur. Je suis surprise de te croiser dans la rue .. MĂȘme si c'est tout Ă  fait normal. Bref, dĂ©solĂ© de te retenir .. » Sur le coup, elle parlait trop pour rien dire. Elle aurait voulut se faire toute petite et disparaĂźtre avant de passer pour n'importe quoi. DerniĂšre Ă©dition par Ally-Jane Cartwright le Mer 29 DĂ©c - 1804, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES ‱ Jake. Lun 15 Nov - 028 change the colors of the devait ĂȘtre vingt heures et des poussiĂšres lorsque Jake avait quittĂ© son poste au commissariat. PlutĂŽt tĂŽt comparĂ© Ă  ses habitudes du Lundi soir mais aujourd’hui, c’était simple et direct son chef lui avait ordonnĂ© de rentrer chez lui. Non pas qu’il ne voulait pas de lui - quoi que - non c’était plutĂŽt une maniĂšre de montrer Ă  Jake qu’il sentait que quelque chose n’allait pas ces derniers temps. A vrai dire, c’était vrai, depuis que Jake avait apprit pour son cancer, il prenait souvent des aprĂšs-midis au boulot pour ses rendez-vous mĂ©dicaux
 Jusqu’à aujourd’hui, d’ailleurs, il n’avait pas encore prit la peine de prĂ©venir son chef de sa maladie ; elle lui coĂ»terait sa place dans la police et ça, c’est qu’il voulait Ă  tout prix Ă©viter. Son travail Ă©tait ce qui lui Ă©tait de plus cher depuis trĂšs longtemps maintenant, depuis la mort de ses parents et ce n’est pas maintenant et ce n’est pas Ă  cause d’une maladie qu’il arrĂȘterait son travail et ce malgrĂ© les suspicions de son voilĂ  alors dans la rue, marchant en direction de son appartement. Il avait pour habitude de venir au travail en voiture mais ce matin, il avait sentit une nausĂ©e Ă©trange et manqua de faire un sacrĂ© malaise, du coup, tĂȘtu comme il est, il avait tout de mĂȘme dĂ©cidĂ© d’aller travailler mĂȘme s’il devait marcher dans le froid Ă  coup, il Ă©tait vingt heures et il marchait seul pour rentrer chez lui. Les nuits se faisaient plus fraĂźches qu’habituellement Ă  Sydney ces derniers qui connaissait Sydney comme sa poche s’était alors engagĂ© dans de longues ruelles interminables oĂč d’ailleurs, les femmes ne s’aventuraient pas souvent vers ces heures-ci oĂč la nuit commençait Ă  parlant de jeune femme, il vit une silhouette plus loin marchant en sa direction, il n’y prĂȘta pas plus attention que ça et continua de marcher puis plus cette silhouette s’approchait plus il remarquait que cette silhouette, il la connaissait trĂšs Ă  deux mĂštres de l’individu, il l’a reconnu trĂšs facilement. Ally-Jane, son ex-petite amie, celle qui avait, il y a longtemps, su lui apprendre Ă  aimer et Ă  le montrer, celle qui avait Ă©tĂ© une meilleure amie aussi, qu’il connaissait depuis son plus jeune Ăąge. Ally, la pauvre semblait frigorifiĂ© dans le froid glacial de la nuit. Ses joues Ă©taient rosĂ©es et elle semblait marcher d’un pas rapide certainement pour fuir le froid. Ce n’est que lorsqu’elle se retrouva face Ă  lui que ses pas ralentirent, autant pour elle que pour lui d’ailleurs. Ils ne pouvaient pas s’éviter, la ruelle Ă©tait Ă©troite et ne laissait place qu’à deux personnes l’une Ă  cĂŽtĂ© de l’autre d’ elle qui parla la premiĂšre et elle semblait ĂȘtre incertaine de sa phrase d’ailleurs, enfin de ses mots plutĂŽt. Jake ne put s’empĂȘcher d’esquisser un sourire qui sembla plus sarcastique qu’autre chose face Ă  Ally-Jane. Il rĂ©pondit Ă  son tour dans un ton beaucoup plus Ă©levĂ© et certain qu’elle Bonsoir Ally. »Il hocha la tĂȘte puis se disait qu’il devrait vraiment rentrer chez lui Ă  prĂ©sent plutĂŽt que de perdre son temps Ă  discuter avec Ally-Jane en plein milieu de la rue aprĂšs ce qu’elle avait fait au centre commercial Ă  Tallulah et Ă  entreprit son premier pas mais Ally poursuivit l’arrĂȘtant aussitĂŽt. De quoi ? Jake fronça les sourcils sans vraiment comprendre oĂč elle voulait en venir. Puis, la connaissant trĂšs bien, il comprit aussitĂŽt combien elle Ă©tait mal Ă  l’aise Ă  l’heure actuelle, face Ă  soupira puis lui dit d’un ton las Ecoute Ally, je n’ai pas vraiment le temps de me prendre la tĂȘte avec toi aujourd’hui, j’ai dĂ©jĂ  assez de soucis comme ça. »Assez de soucis insinuant sa maladie, les problĂšmes qu’il a eut tout rĂ©cemment tant avec Tallulah qu’avec sa sƓur, Chelsea et bien sĂ»r, Tallulah qui Ă©tait Ă  prĂ©sent la regardait toujours fixement alors qu’elle semblait Ă  prĂ©sent encore plus mal Ă  l’aise Ă  la rĂ©ponse de Jake, voir presque triste qu’il lui rĂ©ponde aussi & Ally se connaissent depuis trĂšs longtemps et Ă  un tel point que Jake lit en elle comme dans un livre ouvert et ce malgrĂ© toutes les annĂ©es de sĂ©paration ou encore le fait qu’il n’ait pas devinĂ© que la raison de son dĂ©part avait Ă©tĂ© parce qu’elle Ă©tait Jake lui en veut encore de ce dĂ©part ou cet abandon tout dĂ©pends de comment on voit les choses, elle l’avait laissĂ© tomber comme s’il ne comptait pas
 autant pour elle que pour l’enfant qui grandissait dans son la peine qui se dessinait clairement sur les traits fins d’Ally-Jane, Jake n’allait pas tomber dans le piĂšge » - comme il le dirait - il y est tombĂ© une fois et elle a finit par lui balancer la vĂ©ritĂ© en pleine figure Ă  lui et Ă  Tallulah. Et malgrĂ© toutes les fois oĂč il y Ă©tait tombĂ© lorsqu’ils Ă©taient tout deux plus jeune cette fois-ci, il ne voulait pas parce qu’il n’avait pas envie de se disputer une nouvelle fois avec elle, il avait encore moins envie de parler du passĂ© et de combien il aurait aimĂ© rencontrer son fils ; ce qu’il voulait maintenant, c’était un lit bien chaud oĂč il pourrait se reposer aprĂšs une journĂ©e de travail fatigante et ce sentiment Ă©trange qui le rongeait depuis la la regarda quelques secondes puis se remit Ă  marcher lentement pour passer Ă  cĂŽtĂ© d’elle et s’en aller. Si elle le retiendrai ? Jake n’en doutait pas vraiment, mais il espĂ©rait qu’elle le laisse filer et qu’ils en rediscutent plus tard, au calme certainement
 Non, elle n’allait pas le laisser filer, maintenant qu’une main s’était posĂ©e Ă  son torse pour l’arrĂȘter, il en Ă©tait sĂ»r. La soirĂ©e s’annonçait dĂ©jĂ  pleines de rĂ©vĂ©lations
 ou Ă©dition par Jake A. Daniels le Sam 12 Mar - 1857, Ă©ditĂ© 2 fois Jackie-Lyz Becker ◼ messages 289 ◼ date d'inscription 08/11/2010 ◼ occupation uc ◼ envie uc ◼ copyrights uc ◼ pseudo Chicken Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES ‱ Jake. Sam 15 Jan - 1546 Jake & Ally-JaneIl faisait de plus en plus froid. Le ciel devenait devenait de plus en plus sombre. Ally marchait de plus en plus vite. Elle n'aimait pas ĂȘtre seule dans les rues de New York, le soir. Elle avait dĂ©jĂ  eu pas mal de problĂšmes, des types qui puaient l'alcool venaient lui parler et la retenait souvent. Alors oui, ses pas s'accĂ©lĂ©raient sous le vent glacial. Elle enfuyait ses mains au plus profond de ses poches de son manteau, afin de ne pas subir le froid. D'ailleurs, elle se demandait encore pourquoi elle Ă©tait repartis Ă  pieds et n'avait pas pris le taxi ou le bus. Elle se sentit complĂštement dĂ©bile sur le moment. Sauf que peut-ĂȘtre, cette soirĂ©e l'aiderais Ă  ĂȘtre mieux en elle, puisqu'une rencontre Ă©trange allait se dĂ©rouler. Etrange ? Pas tout Ă  fait, mais elle n'avait plus du tout l'habitude de croiser cette personne, de la regarder, de lui parler et encore moins de lui sourire. Alors oui, peut-ĂȘtre que ça arrangerait les choses, peut-ĂȘtre allait-elle les empirer. Il faut dire, que Jake Ă©tait difficile lui aussi. Il Ă©tait alors impossible de faire demi-tour, puisqu'ils Ă©taient maintenant face Ă  face. Et puis, elle n'avait pas envie de fuir, elle 'avait fait une fois et elle ne recommencerait plus. Elle savait trĂšs bien que Jake ne lui pardonnerait jamais, que rien ne serait plus comme avant. Mais ce qu'elle voulait c'Ă©tait juste s'expliquer avec lui, rien de plus qu'arranger les choses pour que tout soit finis. MĂȘme si cette histoire restera inoubliable pour l'un que pour l'autre. Bonsoir Ally. » Ok, au moins il lui avait rĂ©pondu et ne l'avait pas ignorĂ© comme il l'avait dĂ©jĂ  fait. Elle se sentait mal Ă  l'aise devant lui et c'Ă©tait tout Ă  fait normal, mais ça lui faisait bizarre de savoir qu'elle avait fait n'importe quoi, oui, elle s'en voulait et s'en voudra toujours. AprĂšs ces quelques paroles, elle avait enchainĂ© en disant n'importe quoi, elle ne pouvait pas rester devant lui sans lui dire mais elle ne pouvait pas continuer son chemin, alors la seule chose qu'elle avait trouvĂ© c'Ă©tait de lui dire de la merde. Ecoute Ally, je n’ai pas vraiment le temps de me prendre la tĂȘte avec toi aujourd’hui, j’ai dĂ©jĂ  assez de soucis comme ça. » Effectivement, elle lui avait dit n'importe quoi. AprĂšs la rĂ©ponse de Jake, elle se tu. En faite, elle Ă©tait peinĂ©e de voir que Jake pensait qu'ils se prendraient encore une fois la tĂȘte. Alors que non, Ally n'en avait pas envie, elle en avait marre de passĂ© pour une mauvaise, mĂȘme si elle l'Ă©tait quand mĂȘme, aux yeux de Jake et de beaucoup d'autres qu'il voulait continuer son chemin, Ally-Jane ne pouvait pas le laisser faire. Et puis, il fallait bien un jour que tout Ă©clate, parce que jusqu'aujourd'hui, elle n'avait jamais eu l'occasion de s'expliquer clairement et de dire ce qu'elle ressentait vraiment. Alors elle le ferait, que ça plaise Ă  Jake ou non, il serait bien obliger de l'Ă©couter parler. Elle posa alors sa main sur le torse du jeune homme, qui n'avait rien demandĂ© de tout ça. Elle le poussa lĂ©gĂšrement pour qu'ils se retrouvent face Ă  face et elle le regarda droit dans les yeux, comme si c'Ă©tait les derniĂšres paroles qu'elle pourrait dire. Alors Ă©coute moi, je ne te demanderais rien d'autre. Parce que tu sais, moi aussi j'en ai marre de me prendre la tĂȘte avec toi mais tu sais, j'ai plus envie de crier,de m'Ă©nerver ou de pleurer. Je te demande pas de me pardonner, ni d'oublier. Je veux juste qu'on arrĂȘte tout ça. Parce que j'en ai marre, je me rĂ©pĂšte et finalement, ça mĂšne Ă  rien. Les erreurs que j'ai faites, sont faites je ne peux pas revenir en arriĂšre, c'est tout. Et si par le plus grand des hasard t'aimerait savoir comment je vais, la rĂ©ponse serait mal, trĂšs mal. Oui, car on dirait que tu ne t'en rend pas compte, que moi aussi je souffre, sĂ»rement bien plus que toi, Jake. Parce que on est deux Ă  se dĂ©truire, j'ai un coeur je suis humaine aussi, moi aussi j'ai mal et moi aussi je suis en colĂšre. Alors voilĂ , il fallait que tu saches que j'en avait marre de m'excuser tout les jours pour finalement avoir ton ignorance. C'est pas ce que je voulait et tu le sais. » Ok, elle Ă©tait peut-ĂȘtre aller trop loin, mais il fallait que ça sorte, elle aussi avait mal, chaque jour un peu plus et il n'arrangeait rien en l'ignorant. Il fallait qu'il l'aide et Ally devait l'aider aussi, mais comment ? C'Ă©tait impossible tout ça. Sans lĂącher son regard, elle finit par lui dire. DĂ©solĂ© de t'avoir retenu, mais ça devait sortir. Tu peux maintenant m'insulter, m'ignorer ou tout ce que tu veux Jake, moi je lĂąche l'affaire. ». InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re LIFE IS ONLY MADE OF MEMORIES ‱ Jake. Mer 19 Jan - 2129
DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec je veux dire merci sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : Johnlove's Pintu(@jonathanpintu), Grifana12đŸ‡šđŸ‡©đŸ‡ŠđŸ‡Ž(@grifana12), thinothiana(@thinothiana), Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰŁÙƒŰšŰ±(@iamusliima), Oliver_God's boy(@oliver_themiracle), stevie_rodiane(@stevierodiane), La_Togolai_se (@la_togolai_se),

IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1106 Informations du personnageNom N’en possĂšde pasPrĂ©nom IsaĂŻeSexe Devine
 AnnĂ©e de naissance 178NationalitĂ© MizujinPays d'origine Mizu no KuniCapacitĂ© SpĂ©ciale Sabreur le Sabre FurieDĂ©tails de votre CS ăƒĄă‚€ă‚čă‚čキン — Meisusukin Litt. Peau de MassueOrigine ???Apparence Un Ă©norme et Ă©trange bĂąton moitiĂ© bois, moitiĂ© acier, moitiĂ© obsidienne. Un genre de macuahuitl » hors de proportion l’arme fait presque deux mĂštres de long et gagne cinquante centimĂštres sur sa plus grosse largeur et ornementĂ© de symboles Furie — Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă  la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă  le Guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang. Il porte un masque miroir sur le du personnageDes yeux bleus effrayĂ©s oĂč luit une nuance de folie. Des longs cheveux blancs et ondulĂ©s jusqu’aux Ă©paules, comme des nuages juchĂ©s sur un visage pĂąle aux traits si harmonieusement fins qu’ils expriment la ligne flottante entre virilitĂ© et fĂ©minitĂ©. Un mĂštre soixante-dix-sept pour environ soixante kilos. Le corps est athlĂ©tique et vigoureux. Il porte en collier une toute petite poupĂ©e de chiffon partiellement du personnageCocon de folieIl existe une sĂ©pulture sous le ciel d'un dĂ©sert. Une seule tombe pour deux dĂ©pouilles. Sa stĂšle n’est qu’une petite pierre, et dessus est gravĂ© un seul mot, comme le croquis d’un mot, c’est
 PARDON »Chapitre ISi je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas. De toutes parts la voie est ouverte tant Ă  la sagesse qu'Ă  la folie, et beaucoup d'hommes ne savent tristement pas discerner le vrai chemin qu’ils choisissent. Il est possible que toutes les histoires suivent ce schĂ©ma certaines mĂšnent Ă  la folie, d’autres Ă  la sagesse, tandis que l’aventurier dans le rĂ©cit de sa propre vie, va, hĂ©bĂ©tĂ© et aveugle, sans ne savoir quel tracĂ© il emprunte dans son pĂ©riple. Et encore, avoir la sagesse de cheminer sur la bonne route ne suffit pas ; il faut sur son parcours pouvoir l’infliger aux autres, si l'on ne dĂ©sire pas endurer leur folie. La folie est plus contagieuse que la sagesse. La sagesse Ă©touffe autant qu’elle Ă©clot dans la folie. Peut-ĂȘtre mĂȘme, la sagesse n’est-elle qu’une folie qui se sait folle. Quelle vĂ©ritĂ© serait cachĂ©e lĂ  ? Un chemin empruntĂ© par chacun, mais vĂ©cu diffĂ©remment par tous. Dans le bonheur des hommes, quelques similaritĂ©s existent. Ils semblent tous ĂȘtre heureux de la mĂȘme façon, alors que le malheur, lui, est dĂ©sespĂ©rĂ©ment aussi unique que propre Ă  l’individu. Une histoire ne commence jamais seule, elle est toujours accouchĂ©e d’une autre la question originelle derriĂšre tous les chemins de vie, probablement dissimulĂ©e dans tous les rĂ©cits, Ă©tait au grand commencement, le point du jour le plus ancien, aussi le plus obscur, et est si loin d’aujourd’hui qu’elle n’a jamais pu ĂȘtre encagĂ©e par la raison humaine ; nous ne pouvons que courir aprĂšs une rĂ©ponse Ă  une inconnue. Penser le sens de la vie, c’est comme creuser dans une nĂ©buleuse oĂč on se perdra de vue. C’est une sorte d’éternelle Ă©quation. C’est sans doute, Ă©galement la raison de notre intuition de lire, ou de vivre encore et toujours les mĂȘmes histoires ; elles fouillent, elles dirigent, lĂ  oĂč notre pressentiment est conditionnĂ© Ă  chercher. La plus profonde de nos questions est la vĂ©ritable cause du sentiment du Monomythe. La premiĂšre, la plus importante de toutes les questions
. La seule vraie rĂ©ponse au pourquoi » de ce mirage qu'est la vie, qu’elle soit sagesse ou folie, et s’il existe, doit sĂ»rement n’ĂȘtre qu’une bonne question ; le choix est au chemin, ce que le destin est Ă  la destination. La vie est un chemin choisi, et la mort une fin destinĂ©e. Ce doit ĂȘtre quelque part par lĂ , que se trouve cette unique et toute premiĂšre question. Entre la sagesse et la folie, entre un dĂ©but et une fin. Flasque est le jour du deuil. Ce jour sied mieux aux jours de pluie. Le soleil est mĂȘme un gĂącheur de chagrin. Il ne faut pas s'ensevelir dans son deuil, ni surtout s'enterrer dans son chagrin » croient sage de dire les amis de ceux qui pĂątissent d'une perte. N’entendant le cri d’une Ăąme arrachĂ©e d’un de ses morceaux, ils ne font alors qu’alimenter la folie. En effet, malheureusement, toutes les occupations paraissent rebutantes et odieuses Ă  l'homme qui souffre d’ĂȘtre privĂ© de ce qu’il aime, sauf, peut-ĂȘtre bien celles qui lui promettent la mort de son regret ; il arrive frĂ©quemment que la mort de l’impalpable soigne les maux d’une autre mort, elle, bien palpable. Il est rare que le deuil fasse son temps d’avance lorsqu’il est imposĂ© brutalement. Il peut mĂȘme prendre beaucoup, beaucoup de temps. Prendre tout son temps, avoir besoin d’un prix plus Ă©levĂ© que celui de la pensĂ©e pour parvenir Ă  passer. Ce jour ensoleillĂ© Ă©tait l'anniversaire de la mort d’une Ă©pouse et de son enfant pour un guerrier qu’aucun mot de compassion n’aurait su ramener Ă  de bons sentiments. Un an dĂ©jĂ  Ă  mĂącher sa rancune ne lui avait pas suffit. Son deuil ne s’achevait pas. Les religions eurent Ă©tĂ© plus humaines si, pendant un deuil, le fidĂšle pouvait blĂąmer sa divinitĂ© ; le sens du sacrĂ© ne l’y autorisant presque jamais, faute de quoi, le jour d’oĂč relĂšve de se souvenir une mort et ses responsabilitĂ©s, c'est vers quelque chose de bien moins divin, rien qu'un homme souvent, que file le reproche. Si beau que le temps fut, tout paraissait sombre Ă  IsaĂŻe, lorsque devant la tombe de son Ă©pouse et de son enfant rĂ©unis, il n’avait aucun dieu sur qui faire peser son ire. Il n’avait pour lui rien que le rappel d’une dette qu’il se demandait devoir recouvrer ou non. Silencieusement, devant cette modeste sĂ©pulture, ensuite il se remĂ©morait cet instant, oĂč autrefois avant la mise en terre la veillĂ©e funĂšbre lui avait Ă©tĂ© si insoutenable qu’il en avait dĂ» pour se calmer, aller trancher quelques arbres aprĂšs s’ĂȘtre saoulĂ©. Elle Ă©tait si belle dans son cercueil, pensait-il. C’est drĂŽle, les crocs-morts embellissent le corps pour que le temps de l’enterrement, le trĂ©pas est seulement l’air d’une vie endormie, mais pour mon bĂ©bĂ©, il n’y avait eu qu’une boĂźte fermĂ©e. Les embaumeurs ne savent-ils masquer aussi la mort sur un nourrisson ? L’inĂ©galitĂ© rĂšgne peut-ĂȘtre jusque dans la mort. » Il dĂ©posa sur la tombe un bouquet de lilas. Les fleurs prĂ©fĂ©rĂ©es de sa dĂ©funte femme. Cette offrande ne le guĂ©rissait pas. Au bas de toute chose est la tristesse, comme aux extrĂ©mitĂ©s de tous les fleuves sera l'ocĂ©an. En pourrait-il ĂȘtre diffĂ©remment dans un monde oĂč tout ce que nous aimons doit disparaĂźtre ? Le silence, l'inertie, voilĂ  la fin de tous nos remous ; et la mort, voilĂ  le secret de la vie ; le deuil croque de prĂšs ou de loin l'Ăąme comme l’univers est enveloppĂ© dans la nuit. Que la mort cicatrise tous les maux et soit le dĂ©but d’une immortalitĂ©, beaucoup disent le croire, mais pour combien de ceux qui restent cela signifie-t-il l’apaisement de leurs tourments ? Au prix d’une folie en sommeil, le souci de la vengeance emportait IsaĂŻe vers un autre pansement. Une femme, Anne Barratin, exprima cela si simplement, elle le rĂ©suma d’une seule volĂ©e AprĂšs certains deuils, le cƓur se ferme complĂštement le mort a emportĂ© la clĂ©. » Son hommage rendu, IsaĂŻe quitta le cimetiĂšre, direction le centre ville, vers la boutique d’une prĂȘteuse sur gage. LĂ -bas rĂ©sidait la seule personne qui prenait encore le temps de lui parler. Depuis un an, IsaĂŻe s’était enfermĂ© dans son isolement et presque tous ses amis l'y avaient abandonnĂ©. Il ne lui restait plus qu’une amie aujourd’hui. IsaĂŻe n’accablait personne pour ça. Lucide, il savait qu’il n’y avait qu'au sein des romans que ceux qui souffrent sont attirants. À force de repousser on obtient ce qu’on souhaite l’étendue dĂ©sertique d’une solitude seule Ă  pouvoir ĂȘtre peuplĂ©e selon son grĂ©. Dans cette contrĂ©e, la mĂ©lancolie s’épanouit. Le penchant Ă  la solitude est l'un des symptĂŽmes ordinaires de la mĂ©lancolie. L'homme qui Ă©prouve ce sentiment de mĂ©lancolie fuit la transparence du jour et le volet du monde. Incapable de poursuivre vivement une autre pensĂ©e que celle qui le dĂ©vore, il se fait de la vie un vrai supplice et de cette torture, ne peut naĂźtre que l’abandon de ses semblables ; solitude et mĂ©lancolie sont les deux murs du repli sur soi que nulle ne peut plus franchir aprĂšs un temps. Vers onze heures du matin, le sabreur pĂ©nĂ©tra une casbah mĂ©connue des gens bien nĂ©s. Sa gĂ©rante Ă©tait du genre infrĂ©quentable aux yeux de ceux dont la morale dictait la conduite. Son mĂ©tier consistait en effet Ă  plumer des civils et des shinobis encore plus infrĂ©quentables qu’elle. Une petite porte avec un tout petit Ă©criteau ouvrait directement sur la salle principale contenant des vitrines, un comptoir et une foule d’objets laissĂ©s lĂ  par des misĂ©reux en manque de finances. C’est dĂ©jĂ  l’heure de l’apĂ©ro ? fut accueilli IsaĂŻe par son amie dĂšs qu’il franchit le seuil de la porte.— Komoe
 C’est de toi que je tiens que c’est toujours l’heure de l’apĂ©ro. Ils sont oĂč les clients aujourd'hui ? C’est quoi ce dĂ©sert ? se dirigea directement IsaĂŻe vers le comptoir.— À peine tu arrives, faut que tu critiques !— Sur qui je pourrais taper si c’est pas toi ?— Pfff
 Attends, je te ramĂšne une chaise. On va bien se mettre bien, installa-t-elle le sabreur juste en face d’elle. Tu reviens du cimetiĂšre ? lui demanda-t-elle ensuite en remplissant deux verres.— Oui. Et je ne t’y ai pas vu, l’accusa-t-il.— Allons
 Bois, trinquĂšrent-ils alors en buvant chacun une premiĂšre gorgĂ©e dans une gorge nouĂ©e.— Je comprends tu sais. T’inquiĂšte pas. Je te taquine.— Tu taquines oui. C’est pas bientĂŽt la fin de ton congĂ© ?— Non
 Ou peut-ĂȘtre bien. Je sais plus. Mais je viens quand mĂȘme reprendre Meisusukin aujourd’hui.— Tu comptes faire quoi avec ça si tu reprends pas du service ? Tu veux te refaire un peu la main avant de rempiler ?— C’est mon arme. J’ai pas de raison Ă  te donner. Tu l’as quand mĂȘme pas vendue ?— Bien sĂ»r que non
 Sois pas con. C’était pas un gage cette massue. Et je veux pas d’emmerdes avec ton clan. Moi, je t’ai juste promis de la conserver le temps que tu t’assures de pas faire de bĂȘtises avec. J’avais pas envie que tu repandes l’enfer quelque part.— L’enfer Ă©tait sur terre bien avant que l’homme ne l’invente en dessous.— De toute façon c’est bien que tu la reprennes. Les shinobi vont pas te laisser te la couler douce indĂ©finiment.— Je ne compte pas y retourner tout de suite. J’ai quelque chose Ă  faire avant.— Et c’est quoi cette chose ?— Je l’ai trouvĂ©. Je sais oĂč il est.— Comment tu l’as su ? comprit-elle tout de suite.— Balec, cracha presque IsaĂŻe.— Tu comptes faire quoi ? se noircit dans sa peur le regard de Komoe.— Le tuer. Quoi d’autres ?— Le monde est en guerre, et toi tu ne penses qu’à te venger.— La guerre Ă©tait lĂ  bien avant ma naissance, et continuera de l’ĂȘtre bien aprĂšs ma mort. Tant qu’un homme ne sera pas pleinement humain, le yuukan ne fera pas sa mue. Moi, j'ai ma vengeance. Une fois accomplie, je reviendrais accomplir ma mission pour Kiri. Mais pas avant.— À t’enfermer dans ta haine, les tĂ©nĂšbres vont te dĂ©vorer. Ce n’est pas ce qu’elle aurait voulu pour toi.— Je sais mieux que toi ce qu’elle aurait voulu pour moi. Et puis, toi t’es civile, tu comprends pas. Dans le monde shinobi, les tĂ©nĂšbres Ă©quivalent Ă  la lumiĂšre. Tu veux que j’arrĂȘte de haĂŻr ? Mais putain soit pas folle. Si j’arrĂȘte de haĂŻr, qu’est-ce qu’il me restera Ă  part ma douleur ?— Il y a des buts plus saints que la vengeance tu sais. Ça existe ! Et d’autres moyens de mettre fin Ă  ta douleur.— Un but, ça ne se choisit pas. Ça se dĂ©couvre et on fait avec. T’es qui pour me donner des leçons ? T’as plus de soixante piges, et tu picoles comme un trou. Tu crois que noyer ta peine dans l’alcool c’est mieux ?— Les barreaux qui ne sont pas en acier sont plus difficiles Ă  ronger disait ma mĂšre.— C’étaient quoi les barreaux de ta mĂšre ?— Mon pĂšre.— Et comment elle s’en est dĂ©barrassĂ©e du coup ?— Il est mort de la cirrhose avant qu’elle s’en charge, dit-elle en vidant son propre verre.— Je ne compte pas attendre que la nature fasse son Ɠuvre moi. Et puis pour tout te dire, j'ai l'impression vu ce que tu t'enfiles que ton pĂšre est restĂ© pour toi des barreaux », ajouta-t-il en vidant le sien. Komoe soupira, se leva, puis entraĂźna son ami sans un mot, d’un coup de menton, dans l’arriĂšre boutique. C’est rare de t’entendre fermer ta gueule, commenta-t-il cela.— Un bon ami sait savoir quand il faut se taire », se força-t-elle Ă  en rire. Meisusukin attendait son propriĂ©taire. L’arme Ă©tait si Ă©norme et si lourde qu’elle Ă©tait Ă  mĂȘme le sol d’un cĂŽtĂ© et sur un reposoir de l’autre. Lorsque IsaĂŻe la saisit, un flash l’envahit. Ce fut fugace, rien qu’un instant, la tĂȘte d’un guerrier en manteau blanc tĂąchĂ© de sang et avec un masque mirroir oĂč IsaĂŻe vit le reflet de son propre visage. Il ne le craignit pas, ni ne s’en Ă©tonna. Mon vieux compagnon », pensa-t-il au contraire un sourire malsain Ă  la commissure en la soulevant. Bordel, mais comment tu peux manier ça ?— L’habitude.— Elori n’aimait pas que tu la portes. Elle me disait qu’elle te rendait dangereux.— Ça ne l’a pas empĂȘchĂ©e de me la donner. Elle Ă©tait convaincue que l’avenir de la femme Ă©tait de tenir l’homme dans ses mains et d’en tirer le meilleur parti. Elle n’était pas douĂ©e avec une arme. Mais elle avait bien mieux pour dominer.— Quoi ?— Du cƓur. Beaucoup de cƓur. Un beau cƓur. Elle avait un pouvoir Ă©trange sur moi. À l’époque oĂč je l’ai connue, j’avais du mal Ă  respirer Ă  cĂŽtĂ© d’elle. Je crois qu’une femme a toujours en elle l’idĂ©e qu’elle peut façonner Ă  son image ce qu’elle aime. Elori me prouvait tous les jours que c’était possible.— Tu pars pour oĂč du coup ?— Kaze no Kuni. C’est lĂ -bas qu’il se cache. Alors c’est lĂ -bas que je vais.— C’est le bout du monde oĂč tu te rends
— J’ai tellement entendu que le monde est petit que le bout du monde ne doit pas ĂȘtre si loin que ça.— Kiri va te laisser partir comme ça ?— Soit ça, soit ils me traqueront pour me tuer. Je ne dĂ©serte pas tu sais. Je compte revenir.— Et si
 Si tu ne revenais pas ?— Si je reviens pas, surtout, pense surtout aux lilas.— Va te faire foutre.— À la prochaine Komoe et merci pour le verre », alla ensuite IsaĂŻe vers la sortie. Sur son chemin, IsaĂŻe prit soin de garder dans une poche deux lettres, dont une lettre qu’il avait Ă©crite Ă  son Ă©pouse. C’était bien aprĂšs son dĂ©cĂšs qu’il l’avait rĂ©digĂ©, un jour, juste comme ça oĂč il avait Ă©prouvĂ© cette pulsion qui l'avait astreint Ă  mettre des mots sur les songes qui le rongeaient Ô mon amour, autant que souffle l’incertitude, et que me mĂšne en altitude, pour que je m’y asphyxie, et cesse enfin de craindre la folie. Aussi moi-mĂȘme que pourrais-je, en mal ou en bien, qu’en saurais-je
 Tout lĂ  haut, mort sĂ»rement pour te venger ou te rejoindre, Ă  dĂ©faut d’ĂȘtre qui je veux ĂȘtre, qui tu aurais voulu que je fusse, me contenterais-je d’ĂȘtre. Cela suffira Ă  mon bonheur. À cette altitude, plus d’incertitude. Accompli, enfin, je saurai comment te revoir, ou oĂč semer mon malheur. »—————————————————————————————————————————Chapitre IILe confort du dĂ©sertSi Chaque Paysage est un État d'Âme » selon le lĂšgue d’Henri FrĂ©dĂ©ric Amiel, une mer dĂ©sertique sous un soleil de plomb correspond Ă  quelle disposition ? Faut-il en plus que le silence ne soit entravĂ© d’aucune sombre mĂ©lodie pour que le tableau soit parfait. La petite Kieyasu ĂągĂ©e d’à peine six ans ne disposait pas de ce privilĂšge. JetĂ©e hors de la tente familiale, dans celle-ci et derriĂšre son dos hurlaient son pĂšre, sa mĂšre, et leur ami qu’elle appelait oncle. Le paternel Ă©tait incontrĂŽlable comme cela lui arrivait souvent depuis son retour un an auparavant. Elle en ignorait la cause et se faisait tĂ©moin malgrĂ© tout de ses accĂšs de fureur, de la violence infligĂ©e Ă  sa mĂšre aussi loyale que dĂ©vouĂ©e, ou de ses verbiages guerriers auxquels elle ne comprenait rien. L’ami de la famille, qu’on lui avait prĂ©sentĂ© en tant que Kyochori Yamanaka l’avait habituĂ© Ă  s’occuper selon ses propres moyens pendant ces mauvais moments. C’est pourquoi Ă  cet instant, dans le sable du dĂ©sert, avec un bout de bois, elle dessinait ses propres paysages. Ceux-lĂ  Ă©taient-ils ses Ă©tats d'Ăąme ? Que pouvaient-ils ĂȘtre tandis que de la violence de son foyer naissait son silence ? Elle aurait tant aimĂ© qu’on lui fĂźt assez confiance pour lui dire les fĂącheuses vĂ©ritĂ©s, mais on l’écoutait aussi peu qu’on les lui avouait. La biensĂ©ance exigeait aux yeux des adultes qui en avaient la garde, que pour la protĂ©ger on lui cachait le poids d’un passĂ©. Si seulement, si seulement eux, ils avaient su, que la vĂ©ritĂ© dissimulĂ©e derriĂšre la biensĂ©ance n’est qu’hypocrisie. Afin de se prĂ©munir de la dĂ©raison environnante, Ă  cette enfant ne subsistait donc qu’une imagination fertile oĂč sĂ©journait l'aptitude Ă  se prĂ©munir de tout ce qui lui Ă©tait extĂ©rieur et insupportable. L’instinct de prĂ©servation sait prendre tous les chemins de traverse lorsque l’intĂ©gritĂ© est en cause. Ses rĂȘves d’un ailleurs Ă©taient ses Ă©tats d’ñme, ils Ă©taient le son de son silence. Le son de son silence, Ă©tait le rĂȘve d’un pays, l’espoir d’un foyer sans violence. Cette fois-ci, la tempĂȘte dura une vingtaine de minutes. L’apaisement des cris lui indiqua que l’orage Ă©tait passĂ©, mais elle ne dĂ©sira pas retourner dans la tente. Rapidement, Kyochori sortit et la rejoignit. Calmement, il s’assit Ă  cĂŽtĂ© d’elle et, afin de nouer un contact, lui prĂ©senta une petite poupĂ©e de chiffon. Tiens, j’ai fait ça pour toi, la lui proposa-t-il tendrement.— Merci, l’accepta-t-elle en forçant un court sourire. Qu’est-ce qu’ils font mes parents ? demanda-t-elle ensuite en continuant de regarder ses dessins dans le sable et en tripotant sa poupĂ©e.— Ton pĂšre s’est endormi et ta mĂšre le veille. Ils ont besoin de se reposer tous les deux.— Comment t’as fait pour qu’il dorme ? J’aimerais apprendre Ă  faire qu’il dorme.— Je soigne sa tĂȘte. Je peux rentrer dans la tĂȘte des gens. Je rentre dedans, et je cherche dans ses mauvais souvenirs pour les lui enlever. Toi tu peux pas faire ça. Tu peux pas le faire comme moi. — Pourquoi ? — C’est un pouvoir de mon clan.— Les shinobi mĂ©decins peuvent pas le guĂ©rir eux ?— Ils ne soignent que le corps. LĂ  le problĂšme est plus profond. Les souvenirs qui lui font mal sont trĂšs profonds.— Merci.— Ton pĂšre est un trĂšs vieil ami. Il m’a plusieurs fois sauvĂ© la vie. Je lui dois bien ça.— Je sais dĂ©jĂ  ça. Merci de me parler.— Ça doit ĂȘtre dur pour toi. D’ĂȘtre venu vivre ici. Tout ça. — Il fait chaud ici. Mais ça va. Pourquoi il a des mauvais souvenirs mon pĂšre ? — Je
 Il
 Je ne peux pas te le dire. Ce n’est pas Ă  moi de te le dire.— Si tu le dis, se referma l’enfant.— C’est Ă  cause de la guerre. LĂ -bas, on a fait des choses. De mĂ©chantes choses. C’est ça qui fait trĂšs mal Ă  ton pĂšre, avoua-t-il finalement par culpabilitĂ© envers l’enfant.— Moi aussi un jour j’irais Ă  la guerre ? » s’inquiĂ©ta donc la petite fille. Kyochori se mordit la lĂšvre et s’en arracha un bout de peau. Ses joues tombĂšrent avec ses yeux de n’ĂȘtre certain de la vĂ©racitĂ© de la rĂ©ponse qu’il souhaitait offrir. Kieyasu entortillait le chiffon de sa poupĂ©e et n’obtenant pas la rĂ©ponse Ă  sa question, finit par la dĂ©laisser pour fixer des yeux innocents sur le Shinobi. Il secoua la tĂȘte, se reprit Nous sommes ici pour que ça n’arrive pas. Mais je ne peux pas te dire non. Ta vie t’appartient et tu seras la seule Ă  dĂ©cider de ce que tu en feras. Nous les adultes, notre rĂŽle c’est de prĂ©parer Ă  faire tes propres choix.— Je veux pas aller Ă  la guerre. Je veux pas ĂȘtre comme papa.— À la guerre dans ce monde, on est obligĂ© d’y faire face. Mais tu dĂ©cideras comment le faire. Et ce sera pas forcĂ©ment en la faisant.— Comment alors ?— J’en sais rien encore. J’en sais rien. Mais dĂšs que j’ai la rĂ©ponse, promis, je te la donne. Je dois aller chercher de l’eau. Je peux te laisser ?— Non. Je veux y aller.— Je peux pas te laisser partir toute seule jusqu’au puits.— Je veux y aller. J’en ai marre de rien faire. Laisse-moi y aller.— Je suis sĂ»r que je vais le regretter.— C’est Ă  moi de dĂ©cider ce que je veux faire, tu as dit. Je veux dĂ©cider maintenant. Je veux y aller.— Pas de dĂ©tour hein ? Tu me le promets ?— Promis. »Vers le mĂȘme puits oĂč Kieyasu se rendait, approchait dĂ©jĂ  IsaĂŻe. Les informations qu’il avait obtenues de quelques marchands ne lui avaient pas permis de savoir plus que la cachette de sa proie fut en ce dĂ©sert. VoilĂ  alors trois semaines qu’il y dĂ©ambulait sans trouver aucune trace, mais il n’abandonnait pas. Pour l’heure, ce dont il avait besoin c’était de l'eau, et heureusement il avait pris soin de se faire indiquer sur une carte en sa possession oĂč se situaient les diffĂ©rents puits de cette rĂ©gion. C’est un homme transpirant de ce que le soleil n’avait aucun lit de nuage pour s’amoindrir qui atteint le puits sur lequel il se jeta. AssoiffĂ©, il tira bien vite l’eau du gouffre, cependant, il Ă©prouva aussi et toujours une certaine quiĂ©tude Ă  vagabonder en cet endroit. Dans le dĂ©sert oĂč tous les horizons se ressemblent, les souvenirs paressent sous la lumiĂšre ; c’est lĂ  oĂč les traces ne durent pas, rĂšgne comme une absence de temps, pas de passĂ©, ni d’avenir. À celui que l'histoire entrave, un temps Ă©thĂ©rĂ© sera antidouleur. L’eau fraĂźche passĂ©e sur son visage, en relevant la tĂȘte, IsaĂŻe aperçut ce qu’il crut ĂȘtre un mirage, Je devais ĂȘtre sacrĂ©ment dĂ©shydratĂ© », pensa-t-il mĂȘme, mais la durĂ©e de la vision le convainquit de sa rĂ©alitĂ©. Au loin, une petite fille marchait vers le puits, avec un seau dans les mains et une poupĂ©e de chiffon portĂ©e en collier. Bonjour, dit-elle simplement Ă  un mĂštre de lui.— Bonjour
— Vous avez fini ? Je peux me servir ?— Oui oui, bien sĂ»r.— C’est une Ă©pĂ©e ça ? demanda-t-elle innocemment en contemplant l'Ă©normitĂ© de Meisusukin et en remontant de l’eau du puits.— Je m'en sers de casse-noisette avec aussi de temps en temps.— C’est pas un peu gros pour casser des noix ?— Certaines noix sont plus grosses que d’autres, la fit-elle rire.— Vous faites quoi ici ?— Je me perds je crois.— Parce qu'il n'y a pas de route ? le fit-elle rire aussi en retour.— Ha ouais. J’y avais pas pensĂ©, mais ça doit jouer.— Ici c’est quand mĂȘme mieux que lĂ  oĂč j’habitais avant.— OĂč ça ?— À Hi no Kuni. À la campagne. Mais c’est la guerre lĂ -bas. Ici c’est plus tranquille.— Moi non plus j’aime pas les campagnes en guerre. On y trouve que des chemins sans panneaux et des maisons vides.— Vous connaissez Hi no Kuni ?— J’y suis dĂ©jĂ  allĂ©. Une fois ou deux. Vous avez fui la guerre avec ta famille ?— Oui. On est venu ici pour soigner mon pĂšre qui est malade.—DĂ©solĂ© pour toi. C’est pas de bol.— Ça veut dire quoi ?— Que tu n’as pas de chance.— Je sais pas ce que c’est la chance.— C’est quand ça va bien sans trop d’effort.— Alors je commence Ă  en avoir. Ici, ça commence Ă  ĂȘtre mieux. Vous vous appelez comment ?— IsaĂŻe.— IsaĂŻe comment ?— Quand mes parents m’ont vendu, ils n’ont pas pensĂ© Ă  me donner un nom de famille.— Comme les chiots ?— Ouais
 C'est ça... Comme les chiots.— C’est pas trĂšs gentil.— Et toi tu t’appelles comment ?— Kieyasu Aburame.— Aburame ? Vraiment ? C’est pas vraiment la rĂ©gion pour en rencontrer, se durcit IsaĂŻe. Il s’appelle comment ton pĂšre ?— Genzu. »Il n'y avait rien qui ne lui payait un impĂŽt de joie, rien qui, pour un enfant, toute chose n’était autre qu’un jouet. Mais pas chez cette enfant nĂ©e parmi les dĂ©mons. Elle n’y avait pas encore perdu son innocence, mais sans en avoir conscience, n’était dĂ©jĂ  plus totalement dupe des rĂ©alitĂ©s de la vie ; que dans chaque Ăąme perdue, c’est un peu du monde qui meurt. Les papillons sur l'air, les bleuets dans les blĂ©s, le sable sous les Ă©cumes, la luzerne des campagnes, les allĂ©es vertes des bois, normalement tout fournissait Ă  l’enfant des plaisirs, tout lui promettait ici-bas des fĂ©licitĂ©s mystĂ©rieuses. Un mensonge Ă  l’enfant crĂ©ait du rĂȘve. Pour les enfants, le rĂȘve est constant, la vie devrait ĂȘtre un jeu. Elle, elle ne jouait hĂ©las dĂ©jĂ  plus. Comme pour les adultes, son rĂȘve ne cessait d’ĂȘtre une fuite en avant. Plus la rĂ©alitĂ© est brutale, plus les marchands de rĂȘves ont des chances de faire fortune auprĂšs des adultes. Plus la sociĂ©tĂ© est terrible, plus ce qui peut en faire sortir est vendeur. Elle est seule dans le dĂ©sert. Elle seule devant un guerrier et n’a mĂȘme pas peur. Elle a l’air diffĂ©rente des autres gosses. Pourquoi ? Pourquoi elle a l’air diffĂ©rente ? Et si je la tuais. Pour lui faire mal. Aussi mal que j’ai mal, dans combien de temps il le saurait ? Qu’est-ce qu’il comprendrait Ă  ĂȘtre privĂ© Ă  son tour de ce qu’il m’a privĂ© ? », se disait-il en mĂȘme temps. Ça va ? Vous ĂȘtes tout blanc d’un coup, s’inquiĂ©ta Kieyasu.— Je pensais Ă  quelque chose de pas agrĂ©able. Excuse-moi », n’osa-t-il la regarder dans les yeux. Instinctivement, la petite fille posa son sceau rempli d’eau. Elle dĂ©crocha ensuite de son cou sa poupĂ©e en collier, et l’offrit au guerrier. C’est pas grand chose, je peux pas rester pour vous Ă©couter, mais j’ai que ça. Si vous voulez je vous la donne », la tendit-elle innocemment. IsaĂŻe ignora quelle fibre de son ĂȘtre fut atteinte, quelle substance de son inconscient fut percĂ©e, mais ce geste eut sur lui un effet dĂ©vastateur. Le shinobi pensa alors aux gens qui riaient de ceux qui croyaient aux anges. Il se demanda, maintenant qu’il avait rencontrĂ© une chose aussi sublime, s’ils changeaient de point de vue lorsque leurs yeux se posaient sur leur enfant, leur chair, leurs entrailles, leur avenir. Lui aussi, autrefois, avait sans doute Ă©tĂ© un petit ange tout innocent, mais il se rappela en se considĂ©rant face Ă  ce qu’il admirait, que les petits anges faisaient de grands diables ; Pas celui-ci, pitiĂ©, pas celui-ci », supplia-t-il alors le ciel de l'aider Ă  se contenir. Puis Pourquoi tu me la donnes ? questionna-t-il fĂ©brilement.— Comme ça. Quand quelqu’un va pas bien faut bien faire quelque chose », lui sourit-elle en haussant les Ă©paules. Un ange de la mort, tout-puissant qu’il pourrait ĂȘtre, ne saurait tenir tĂȘte Ă  celui de l’innocence. Autant tuer qu’il puisse, ingĂ©nuitĂ© abattue ne peut qu’ĂȘtre Ă©ternelle. Lui porter atteinte, c’est un blasphĂšme. L'agneau n'a besoin que d'ĂȘtre agneau pour que le loup se sente honteux Ă  le dĂ©vorer, mĂȘme s'il est lĂ©gitime Ă  le faire. Merci
 l’accepta-t-il et la mit autour de son propre cou. Tu dois ramener ce seau chez toi ?— Oui.— C’est loin ?— Un peu plus d’une heure.— Ça fait lourd Ă  porter. Tu veux que je le porte pour toi ? Je t’accompagne. Ça te dĂ©range pas ?— Ho oui ! C’est gentil ça ! » fit-elle se sentir honteux le sabreur.—————————————————————————————————————————Chapitre IIILes jumellesLe soleil n'estompe pas toutes les nuits noires, au contraire, il peut les nourrir, parce que lui aussi, a son ombre ; le spectre du soleil est sa rage de luire, sa lumiĂšre est sa vengeance sur les tĂ©nĂšbres, il en brĂ»lerait tout ce qu’il Ă©claire pour y parvenir. De lĂ , la naissance du mal dans l'insuffisance de la frustration ; celle d’un objectif inaccompli. Tous les dĂ©sirs inassouvis couvent le sentiment d’injustice. Qu’est-ce alors surprenant qu’en injustice, l’antonyme justice rime avec vengeance, mĂȘme si les reprĂ©sailles les plus juste seront source de grands maux en ce qu’elles oseront sacrifier pour s'obtenir ? Quelquefois, on subit tant depuis si longtemps, que quoi qu’on chĂ©rit de tout son cƓur sentir, on ne s’en perçoit plus capable ; l'ĂȘtre devient lettre morte. Les connexions sont rompues et c'est l'instinct qui prĂ©domine. Les ĂȘtres humains poussĂ©s aux confins de ce qu’ils peuvent soutenir ne consultent, en dĂ©finitive plus que leur dĂ©sespoir, pour espĂ©rer sortir du dĂ©couragement. Au bas de ce trou, la pensĂ©e s’éteint sous son propre reflet, et c’est dans cet Ă©cho que se nourrit cette ambition dĂ©vorante la vengeance. Lorsque Kieyasu entendit derriĂšre elle le seau d’eau tomber et se vider, aussitĂŽt la vengeance fit d’elle son dommage collatĂ©ral sous la forme d’une arme gigantesque reposĂ©e sur son Ă©paule et d’une voix froide Sur la route, tu m'as dit que tu vivais avec ton pĂšre, ta mĂšre et ton oncle. Appelle-les, dis leur de sortir de la tente. Dis le calmement. »MalgrĂ© tout l'immense poids de Meisusukin sur elle, et dont elle sentit qu’il ne fallait seulement qu’elle soit lĂąchĂ©e pour ĂȘtre Ă©crasĂ©e, Kieyasu n’obĂ©it pas. Elle tourna un peu son visage, dĂ©visagea le sabreur si griĂšvement qu’elle obligea en lui une culpabilitĂ© qu’il dĂ©glutit sans faillir. Pourquoi ? dit-elle déçue, les larmes dans les yeux.— Ton pĂšre me doit quelque chose, ravala IsaĂŻe sa salive. Je viens le prendre.— Il vous le rendra. Je vous le promets. Pas besoin de...— Il ressuscite les morts ? ne la laissa-t-il pas terminer. Parce que ce sont deux vies qu’il me doit. Ma femme et mon enfant. Ce que l’épĂ©e prend, l’épĂ©e le reprend petite. Il n'y a pas de lieu qui puisse servir d'asile contre la vengeance de l'honneur. MĂȘme pas ce foutu dĂ©sert. Fais ce que je te dis. Appelle-les. Maintenant », lui dĂ©crocha-t-il la mĂąchoire en lui apprenant une bien mĂȘme eĂ»t-elle Ă©tĂ© prĂȘte Ă  le faire, et ce n’était pas le cas, le hasard dĂ©cida qu’il n’y en eut pas l’utilitĂ©, car alors, la mĂšre de Kieyasu sortit de la tente et vit l'infĂąme en train de se tramer. Elle hurla immĂ©diatement les noms des deux autres pour qu’ils sortent aussi, puis PitiĂ© », ajouta-t-elle vers IsaĂŻe qui resta de marbre. Genzu et Kyochori ne tardĂšrent pas, car la panique s’était entendue dans la voix de la kunoichi. À la vue de Genzu, certes que silencieusement, IsaĂŻe exulta. Enfin ! » rĂ©sumait le message de ses yeux, mais ce n’est pas ce qu’il commenta. Le regard un instant portĂ© sur Kyochori Faut ĂȘtre sacrĂ©ment con pour porter le symbole de son clan sur son vĂȘtement, Yamanaka, dit-il.— T’es de la coalition ? Tu traques les dĂ©serteurs ? s’inquiĂ©ta Genzu sur qui rĂ©sonnait dĂ©jĂ  une forme de rĂ©signation.— Ce n’est pas au nom d’une faction Ă  la con que je suis lĂ . Mais en mon propre nom.— Qu’est-ce que tu veux si tu chasses pas le dĂ©serteur ?— Le 18 juillet de l’annĂ©e derniĂšre. À Hi no Kuni. Une femme et son bĂ©bĂ©, les fit-il tous comprendre.— Vous Ă©tiez proche ? craignit Kyochori la rĂ©ponse.— Ouais. C'Ă©tait ma femme. » Avant d’ĂȘtre la proie de ses semblables, un homme est avant tout la proie de ses propres vĂ©ritĂ©s, parce que le rappel d’une honte impunie ordonne plus de honte Ă  la conscience de celui dont la honte coupable est son premier supplice. Genzu avait tentĂ© sans succĂšs de faire taire sa honte en s’organisant pour que soient rapatriĂ©s Ă  Kiri les corps d’une femme et de son bĂ©bĂ©. Il y avait adjoint une lettre exprimant ses remords, et oĂč il avait eu l’imprudence de signer de son nom. DestinĂ©e juste Ă  la famille en espĂ©rant que le village militaire face le reste, il ignorait Ă  qui il l'avait envoyĂ©. Pour son malheur, cela avait Ă©tĂ© IsaĂŻe. Et Ă  l’esprit d’IsaĂŻe, cela n’avait Ă©tĂ© que des mots. Les bons sentiments sont vains si aucun acte ne leur donne corps. Les mots sont des choses faciles. Cette fois, face Ă  la vengeance en devenir personnifiĂ©e en un Shinobi consumĂ© par la rancune, il prĂ©sageait que son mal atteindrait bientĂŽt son point le plus culminant. Ma fille est innocente, dit-il nĂ©anmoins. — Mon bĂ©bĂ© l’était aussi. Mais tu as raison. Une vie pour une vie. Tu veux qu’elle vive ? Choisis. Donne ta vie. Et j’épargne la sienne.— Tu me le promets ?— Je n’ai qu’une parole.— Comment je peux ĂȘtre sĂ»r ?— Tu peux pas.— La cruautĂ© est un remĂšde qui aggrave ses propres blessures sabreur », tenta de le faire changer d’avis Kyochori pour ne recevoir qu’un de Genzu devant l’implacable regard d’IsaĂŻe galvanisa un autre instinct, celui-ci plus puissant que tout autre en ce monde. Les souffrances de la femme sont mĂȘlĂ©es d'amour-propre, mais celles de la mĂšre ne sont que de l'amour meurtri ; son enfant est son espĂ©rance, son inconditionnelle patrie. Une mĂšre c'est l'ange vigilant, il plane doux et bienfaisant sur l'enfance, chasse aux alentours les mauvaises influences qui la menacent, et pose une main blanche sous les pieds roses de son enfant. Que y'avait-il donc d'Ă©tonnant Ă  ce que cette mĂšre, prĂ©sentement, s'Ă©lance d'un bon en criant Moi ! Prends-moi ! ». Trois mĂštres sur cinq parcouru vers sa fille auront suffi. IsaĂŻe, lui, n'hĂ©sita pas, tint parole, une vie, pour une vie. Deux couteaux lancĂ©s, l’un dans une gorge, l’autre dans un front, furent le gage de sa promesse. Le cadavre n’avait pas touchĂ© le sol qu’il bondit ensuite sur Genzu et frappa en chargeant dans Meisusukin sa fureur. L’Aburame n’avait eu que le temps de dire Non ! », mais il esquiva nĂ©anmoins de justesse le coup et derriĂšre, Kieyasu tomba sur ses genoux. Ce qu’elle venait voir lui avait tranchĂ© d’un trait les jambes et la voix. Le sabreur tenta immĂ©diatement une seconde frappe qui n’aboutit pas Ă  mieux. Recule Genzu ! » hurla Kyochori pour que son ami fasse ce qu'il n'avait pas attendu de faire, car lĂ , lorsque IsaĂŻe fut isolĂ©, il cracha un ocĂ©an de flammes sur lui. Le sabreur fit de la largeur de son arme un bouclier et disparut dans le feu. Kieyasu terrifiĂ©e par la scĂšne retrouva sa voix ArrĂȘtez ! ArrĂȘtez ! » qu’elle supplia sans ĂȘtre exaucĂ©e. La tente s’enflamma derriĂšre et les grognements d’IsaĂŻe firent croire Ă  chacun que c’était dĂ©jĂ  gagnĂ©. Et quel supplice ! Si peu de choses comparĂ©es aux vĂ©ritables souffrances. Comme l'amour, l'affliction pĂ©nĂštre toujours plus avant dans le cƓur. Au milieu des tourments la douleur est immense, pour qui vit seul et souffre en silence. AprĂšs une grande douleur, rien ne nous Ă©tonne plus, si ce n'est de l'avoir supportĂ©e Quelle horreur. J’ai rouillĂ©. J’avais oubliĂ©. Mais ce mal est diffĂ©rent, il est diffĂ©rent d’avant. Cette douleur sur ma chair, elle endort l’autre qui se cache en dessous. En fait, c’est apaisant. Plus mon corps a mal, moins mon Ăąme crie. Oui, c’est apaisant. He he... Si j’avais su ça avant », pensait IsaĂŻe en brĂ»lant. Le jet de flamme cessa, et c’est un homme debout, au corps fumant, la peau des bras et des Ă©paules roussies par la chaleur qui leur apparut. On a du bol qu’il ne soit pas aussi bon que ça, commenta Kyochori.— Il est toujours debout, elle est endurante la tĂȘte d'ange,... s’étonna malgrĂ© tout Genzu.— T’es pas le premier Ă  me cracher du feu dessus, resta fiĂšre IsaĂŻe entre ses halĂštements.— Du moment que je suis le dernier.— Crois-moi, je n'aurai pas demandĂ© mieux que de te donner ma vie. Je comprends ta douleur. Elle est lĂ©gitime. Et je suis dĂ©jĂ  un peu mort. Mais maintenant que tu as tuĂ© ma femme, je ne peux pas. Je ne peux pas laisser ma fille seule, promit Genzu en faisant un mudra. Je suis obligĂ© de te tuer. Tout ça, tu sais, c’est la guerre. Nous sommes shinobi. Toi durant ta carriĂšre, tu n’as jamais tuĂ© de parents ? Si nous nous battons pour savoir qui est innocent ou lĂ©gitime, je crains que nous soyons tous dĂ©jĂ  perdus. Mais, peu importe, je ne peux juste pas abandonner ma fille parce que nous sommes coupables tous les deux. MĂȘme si je souffre, pour ma fille, je dois faire face Ă  ma souffrance. La haine, tu vois... est le refuge de ceux qui ne supportent pas de faire face Ă  leur souffrance.— Genzu
 se dĂ©sola Kyorochi— Moi j’ai plus rien Ă  protĂ©ger. Tu m’as tout pris. Je suis seul. Je n'ai plus que ça. Ma souffrance. J’ai plus rien Ă  perdre. Alors quitte Ă  crever, je te ferais crever avec moi.— Non, pas tout. Je n’ai pris que ta femme.— Qu’est-ce tu dis ?— Quand on a attaquĂ© la caravane, elle s’est couchĂ©e sur votre bĂ©bĂ© pour le protĂ©ger de mes insectes. Je ne savais pas qu’il Ă©tait lĂ . Ce ne sont pas mes bĂȘtes qui l’ont tuĂ©. C’est l’amour de ta femme. Elle a dĂ» l'Ă©touffer sans s'en rendre compte. Je l’ai aidĂ©e. Je ne le nie pas. Oui, c’est un peu de ma faute aussi. Et de ceux qui nous commandaient. Et de ce monde fou. Tout ça me dĂ©truit. Mais elle l'est aussi. Elle est aussi responsable que moi. Si elle n'avait pas Ă©touffĂ© ses cris, j'aurais stoppĂ© ma technique. Je n'aurai pas pu tuer un bĂ©bĂ©.— Te fous pas de moi ! »La colĂšre n'est point qu'une courte fureur, c’est la parente d’une longue folie. Un cri de rage retentit, mais les insectes de Genzu volĂšrent sur IsaĂŻe pour le dĂ©vorer. Son arme en bouclier ne pouvait cette fois le protĂ©ger. Son dos, le sommet de sa tĂȘte, ses bras, le bas de jambes Ă©taient envahis de bestioles qui le dĂ©chiquetaient maintenant lentement. Et lui, il serrait les dents. Sa pensĂ©e filait dans la tempĂȘte. BloquĂ©, il prit la seule dĂ©cision qui lui sembla sensĂ©e. À la stupĂ©faction de tous, il sauta dans la tente enflammĂ©e. Un hurlement Ă  dĂ©chirer le vent suivit, celui d’un homme en furie, mais Ă©galement le craquement de centaines d’insectes engloutis par le brasier. C’est alors que pendant un instant
 Pendant un instant, aux yeux de Kieyasu, de son pĂšre et de Kyorochi, la silhouette de cet homme vacillant dans le cƓur des flammes est apparue comme celle d’un monstre terrifiant... VoilĂ , lorsque les jumelles culpabilitĂ© et vengeance entraient en collision parce que l'absurditĂ© les y poussait, voilĂ , quelque soit l'issue de cet affrontement, ce que veut dire propos du joueurOrigine de votre avatar Griffith de l’Ɠuvre Berserk de Kentaro MiuraIndiquez votre parrain, si vous en avez un seulement pour le premier compteEst-ce un changement de personnage ? Oui, mon ancien personnage s'appelait Sad. J'ai retrouvĂ© le lien iciEst-ce un double compte ? NonQuelque-chose Ă  ajouter ? Non DerniĂšre Ă©dition par IsaĂŻe le Ven 26 AoĂ» 2022 - 1857, Ă©ditĂ© 118 fois Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1308 Bonjour et re-bienvenue sur le forum,Je transmet Ă  l'Ă©quipe technique ton sabre pour la validation de ce te plait indiquer de qui es-tu le et au ThĂšme ~ Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1325 Hellow !Nous revenons d'ores et dĂ©jĂ  vers toi ce fut rapide haha.Dans l'Ă©tat actuel de la description de ton sabre, il faudrait l'Ă©toffer. Accorder plus de dĂ©tail sur les tenants et les aboutissants du pouvoir que tu souhaites pour ton arme, car avec la description actuel, il s'agit lĂ  de quelque chose qui pourrait sans doute ĂȘtre fait par le biais de la Branche discute aussi de si un macuahuitl hors proportion n'est pas plutĂŽt une arme gladiateur. Nous reviendrons vers toi dĂšs que possible soit par MP ou par Discord si entre-temps tu le plaisir_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeVen 19 AoĂ» 2022 - 1336 Bonjour. Merci de cette vais Ă©toffer ça. Il se trouve que j'avais d'abord songĂ© Ă  gladiateur avec cette CS et cette arme, mais j'avais prĂ©sumĂ© apparemment Ă  tort que vous alliez considĂ©rer cette arme comme un sabre oĂč une Ă©pĂ©e. C'est autant tranchant que contendant il faut dire. Du coup passer gladiateur ne me dĂ©range pas du le pouvoir je trouvais qu'ĂȘtre capable d'ignorer les blessures Ă©tait dĂ©jĂ  puissant. Si je rajoute que la furie permet des boost physique façon porte cĂ©leste cela vous conviendrait-il ? Yuki MisakiVen 19 AoĂ» 2022 - 1510 Bonjour,Il faudrait plus de dĂ©tail et il faudrait que ça soit inscrit directement dans ton message de prĂ©sentation par le biais d'un EDIT. On souhaite te donner le conseil suivant "Il vaut mieux mettre trop de dĂ©tail que pas assez, l'Ă©quipe technique se chargera de rĂ©duire par la suite"Si je peux aussi t'inviter Ă  te joindre au discord, ça faciliterais sans doute la communication, car passer par des rĂ©ponses sur ta prĂ©sentation n'est peut-ĂȘtre pas le moyen le plus adaptĂ© hahaAu plaisir !_________________~ ThĂšme ~ IsaĂŻeSam 20 AoĂ» 2022 - 1335 Bonjour, j'ai Ă©ditĂ© le pouvoir pour le prĂ©ciser et j'ai tĂ©lĂ©charger discord. Je rĂ©itĂšre l'Ă©dition ici Pouvoir Furie — Les blessures subies contraignent des renforcements physiologiques au combattant. Force, vitesse et endurance sont amĂ©liorĂ©es par des dĂ©charges d'adrĂ©naline, d'endorphine et autres altĂ©rations psychiques. Plus les blessures subies sont importantes, plus les boost le sont, plus l'esprit du combattant sombre dans la furie. Il passe progressivement de la colĂšre Ă  la folie meurtriĂšre. Au seuil de la mort, le combattant est surhumain, mais n'aura de cesse de lutter jusqu'Ă  le franchir. IsaĂŻeMar 23 AoĂ» 2022 - 2353 Bonjour. La prĂ©sentation est terminĂ©e. IsaĂŻe

C# G A B F#m D Bm Em E C#m] Chords for LES SÉRAPHINS-Je veux seulement dire Papa oh merci with song key, BPM, capo transposer, play along with guitar, piano, ukulele & mandolin.

Paroles de la chanson Je veux te dire par Mireille Mathieu C'est comme une esclave enchaĂźnĂ©e Ă  la terre Et qui aimerait sa chaĂźne C'est comme les pĂšlerins qui reviennent Sans jamais se fatiguer En silence je m'attache Et je suis l'ombre et tu es la lumiĂšre Et tout Ă  coup je reste sans parole Parce que tout dĂ©pend de toi Je veux te dire que... Mais j'hĂ©site ! Je veux te dire que... Difficile ! Et si tu sais trouver les mots Que je n'ai pas trouvĂ©s Je serai belle de les Ă©couter Je veux te dire que... Impossible ! Et que nos chemins sont les mĂȘmes Je ne sais pas le dire mais... Mais tu le sais dĂ©jĂ  Que tu es lĂ  Et que ma vie c'est toi C'est comme une esclave enchaĂźnĂ©e Ă  la terre Et qui aimerait sa chaĂźne C'est comme les pĂšlerins qui reviennent Sans jamais se fatiguer En silence je m'attache Et je suis l'ombre et tu es la lumiĂšre Et tout Ă  coup je reste sans parole Parce que tout dĂ©pend de toi Je veux te dire, oui, que je t'aime Et que nos chemins sont les mĂȘmes Mais tu le sais dĂ©jĂ  Que tu es lĂ  et que ma vie c'est toi SĂ©lection des chansons du moment Les plus grands succĂšs de Mireille Mathieu Jeveux remercier le SEIGNEUR, je veux remercier le Dieu saint de tout mon cƓur ! Oui, je veux dire merci au SEIGNEUR, sans oublier un seul de ses bienfaits. C’est lui qui pardonne toutes mes fautes et guĂ©rit toutes mes maladies. Il arrache ma vie Ă  la tombe, il me couvre d’amour et de tendresse. Il remplit de bienfaits mes vieux jours . 363 144 132 465 209 121 194 251

je veux seulement te dire merci paroles