DansJe ne suis pas un Ange, Midori se la fait offrir par son père, lors de son anniversaire. On la retrouvera ainsi avec beaucoup de plaisir dans Gokinjo . Elle est presque omniprésente, et c
l'essentiel Arrivé en provenance de Grenoble, Ange Capuozzo devrait rapidement devenir l’un des atouts de la ligne de trois-quarts du Stade. Découverte d’un joueur quelque peu atypique. Nous pensons ne pas nous tromper en affirmant que Toulouse semblait une évidence pour vous ? Oui c’est une évidence en raison de la génération à laquelle je fais partie et qui a vu le Stade remporter de nombreux titres dans toutes les générations de rugbymen, avec des joueurs que j’idolâtrais quand j’étais petit, alors oui c’est une évidence. Vous évoquez le palmarès mais il y a le jeu aussi… Effectivement, je me reconnais énormément dans ce que peut proposer le club, dans le projet qu’il a de faire vivre ce ballon, de proposer du spectacle et moi je suis un fervent supporter du spectacle. Je crois qu’on fait aussi un sport pour divertir les gens et se divertir nous-mêmes. En revanche, quand on vient à Toulouse, on s’expose forcément à une grosse concurrence… Oui je le sais bien sûr. Je ne comptais pas venir à Toulouse sans concurrence. Bien au contraire, c’est ce que je viens chercher aussi. C’est se remettre en question, se mettre en danger, j’avais aussi besoin de ça, j’arrivais au bout d’un cycle avec Grenoble et j’avais besoin de me challenger. Et Toulouse, c’est le meilleur endroit pour ça. Cette concurrence doit vous faire grandir également. Vous êtes dans cet état d’esprit ? J’ai énormément à apprendre des personnes qui sont là, qui viennent d’arriver, des gens qui ont énormément d’expérience rugbystique, qui ont remporté beaucoup de titres dans ce club, dans d’autres et avec leurs sélections. Alors forcément, je viens là pour grandir et apprendre aussi d’eux. Je viens avec humilité mais pour tenter quand même ma chance. "Il y a un an, je n’aurais sûrement pas été capable de quitter Grenoble. Aujourd’hui, c’est l’heure." Avez-vous abordé avec le staff le poste auquel vous allez jouer ? Je pense que le but sera surtout d’être présent dans un système, que ce soit à l’aile ou à l’arrière ou à un autre. Le but c’est de mettre mes qualités au service de l’équipe. Déjà, il faut que j’intègre bien le projet de jeu, que je me situe bien sur le terrain et que je joue bien avec mes coéquipiers. Le but également, c’est qu’on puisse progresser à chaque poste pour éventuellement durant l’année pouvoir jouer n’importe où. Vous n’avez quasiment pas connu le Top 14 NDLR 20 minutes avec Grenoble, ni la Coupe d’Europe, avez-vous de l’appréhension à l’idée de préparer des matchs de très haut niveau même si vous en avez joué un peu avec l’Italie ? C’est ce que j’allais dire. Le fait d’avoir joué le Tournoi des Six Nations et ces test-matches cet été avec l’Italie m’a aussi fait prendre conscience du niveau de jeu au très haut niveau. Cela va m’aider dans ma préparation de début de saison. Il n’y a pas d’appréhension. Mais de l’excitation parce que je sais maintenant où je me situe. Je n’ai qu’une hâte maintenant, c’est de pouvoir m’exprimer en championnat. Quel fut votre ressenti lors de vos premiers entraînements avec le Stade ? Cela m’a rappelé un petit peu les premiers entraînements quand je suis monté en pro à Grenoble. On se retrouve un peu dans la même posture dans la mesure où on découvre un groupe et où on a cœur de très bien faire les choses. On se prépare très bien comme si on préparait un match. Je me suis remis un peu dans cette situation-là – de débutant on va dire – comme si je rentrais dans un groupe. Cette légendaire relance à Cardiff a-t-elle fait de vous un autre joueur ? Un autre joueur, non. Une autre personne, oui je pense. Parce que forcément, cela a changé beaucoup de choses dans ma vie, je ne vais pas dire le contraire. Après, j’essaie au maximum d’en profiter. Je regarde encore l’action de temps en temps mais j’essaie aussi de prendre du recul et de rester dans la vie réelle et de ne pas bloquer dans la vie du Tournoi. Elle a surtout changé le regard des autres ? Oui mais, du coup, ça va demander beaucoup plus d’attente et de concentration. Et de très bonnes performances car quand on change le regard des gens et qu’on les habitue à un certain niveau, après il va falloir assumer. C’est ce qui va me permettre aussi d’essayer d’être au top. Votre gabarit atypique est-il un message d’espoir pour certains ? Je pense qu’on en a eu quelques-uns ces dernières années. Oui c’est important de faire passer le message. Après, on a évolué aussi dans le bon sens. Il y a de plus en plus de joueurs aussi qui ont des gabarits différents, qui passent par des filières différentes. Je ne suis pas rancunier vis-à-vis de tout ça. Aujourd’hui je suis ici et je profite du moment. Je ne vais pas rester bloqué dans le passé à ressasser des choses alors qu’aujourd’hui j’y suis arrivé. Nous osons imaginer que vous êtes un partisan féroce du rugby d’évitement… Moi, je suis surtout un partisan du fait que je suis bien content d’avoir des mecs très costauds à côté de moi. Parce que si j’avais quatorze mecs comme moi à mes côtés, je pense que je ne serais pas content. Bien sûr, c’est ce rugby que je prône. Mais je prône aussi la diversité. On a besoin de tout le monde. Cela a toujours été le cas. On a toujours eu besoin de rapides, de puissants, d e plus grands et ça, il faut continuer à le cultiver. Est-ce que votre progression passe par prendre un peu d’épaisseur physique sans dénaturer vos qualités d’appui ? L’épaisseur, non ; la protection, oui. Le jeu va être plus intense, plus rapide donc cela va demander beaucoup plus de force et de gainage dans sa globalité. Je vais devoir progresser physiquement, c’est sûr et certain mais il faut que je trouve le bon équilibre pour que cela me fasse progresser et ne pas perdre mes qualités d’appui. Le dernier joueur arrivé en provenance de Grenoble NDLR Vincent Clerc a connu un beau destin à Toulouse. Y voyez-vous un signe ? Forcément. Comme je le disais tout à l’heure, cela fait partie des joueurs qui ont marqué mon enfance. C’est déjà très flatteur pour moi. Je ne mérite pas cette comparaison. On parle quand même d’un des meilleurs ailiers qu’on ait eu en France donc je suis juste flatté, très heureux et j’espère avoir, on va dire, un dixième de sa carrière. Vous avez donc toujours vécu à Grenoble. Est-ce que c’était l’heure de franchir un grand pas en découvrant un nouvel environnement ? Complètement. Il y a un an en arrière, je n’aurais sûrement pas été capable de le faire. Pour plein de raisons personnelles et différentes. Là c’était le moment. J’avais besoin de relancer ma partie rugbystique, retrouver un second souffle. Dans ma vie personnelle également. Donc c’était l’heure. Et je suis très heureux d’avoir fait ce choix. Un Français… International italien Au bord du terrain de Loudenvielle, un "Forza Italia" fuse. Ange Capuozzo y est habitué. Mais beaucoup de personnes se trompent. Le jeune trois-quart né à Grenoble est Français et joue pour l’Italie. Explications de l’intéressé "En automne 2018, on avait fait un match amical les espoirs de Grenoble contre l’Italie moins de 20 ans. Je n’avais jamais eu de sélection en France et j’étais dans ma dernière année de sélections jeunes possible. Je les ai approchés en disant que mon grand-père était italien. Il a poussé un petit peu en parlant un peu italien, il m’a aidé et ensuite je n’ai pas eu trop de nouvelles et j’ai été sélectionné par l’Italie deux semaines avant la coupe du monde moins de 20 ans en Argentine. J’y suis allé et voilà depuis je joue pour eux." Et du coup, beaucoup de personnes pensent que le Grenoblois est… Italien. Mais c’est la langue italienne qu’il est en train d’apprendre ! C’est en tout cas une double casquette avec laquelle il vit très bien "C’est une très belle aventure. Ils m’ont donné une très belle opportunité à un moment où je n’avais pas de sélection, je n’étais pas au centre de formation à Grenoble. Bien entendu que je leur suis redevable et je suis très fier de porter ce maillot." Son profil a ceci d’atypique qu’il a échappé à toutes les filières de formation classiques. Sûrement à cause de son petit gabarit. Lui a trouvé dans ce chemin détourné une force "Je crois qu’il faut pousser toutes les portes possibles jusqu’à ce qu’on pousse la bonne. Il n’y a pas de bon chemin. Il faut emprunter le sien, il faut accepter le sien, il faut accepter ses échecs, et la bonne preuve, c’est que j’ai eu énormément d’échecs jusqu’à ce moment-là. Je suis très heureux d’avoir continué et d’avoir gardé la tête haute dans les moments difficiles."
Unenuit, c’est la sensation d’un baiser qui la tire de son sommeil. Lorsqu’elle ouvre les yeux, un jeune homme avec des cornes flotte au-dessus d’elle. Le lendemain, le garçon de son rêve se manifeste dans son lycée sous une forme humaine. Il affirme non seulement être son ange gardien, mais aussi son amoureux d’il y a 900 ans ! Pour notre héroïne, la vie ne sera jamais
JE NE SUIS PAS UN ANGE Présentation - Auteur Ai Yazawa - Titre traduit Tenshi nanka ja nai ou Ten Nai - Editeur VF Delcourt - Editeur VO Sheisha - Prépublication Ribon - 1ère date de parution VO 1992 - Date de publication 2007 - 2008 - Nombre de volumes 4 Résumé Midori Saejima est une jeune fille pleine de vie, qui ne demande qu’à s’amuser. Pour elle, l’amitié est quelque chose de très important, et elle se démène corps et âme pour que ses proches soient heureux. Au lycée, elle est connue, et devient malgré elle la vice-présidente du comité des élèves, aux côtés d’Akira Sudô, le garçon pour lequel elle est amoureuse en secret. Je suis tombée amoureuse de lui au premier coup d’œil. Enfin, j’exagère peut-être un peu… Mais bon, quand je m’en étais aperçue, c’était déjà trop tard. Il m’avait comme hypnotisée ! Mais ce que j’aime chez lui… c’est son petit côté bad boy ». Parce qu’en vrai… je sais qu’il est adorable… » Mon avis J’ai particulièrement apprécié la lecture de cette série. Yazawa réussit à nous plonger à 100% dans l’univers de ses personnages. Ce qui est très bien fait je trouve, c’est le côté très puéril des personnages. Ici, les lycéens ont davantage les caractères de lycéens que dans d’autres mangas. Ils ne font pas des choses extraordinaires, ou n’ont pas des caractères d’adulte. Dans ce manga, chacun est à sa place, et ça n’est pas un élève qui va faire la leçon au professeur. Je pense qu’on se retrouve dans ce manga. Par là, je veux dire qu’on est tous passé par ce tempérament de vouloir toujours s’amuser, aimer voir ses amis à l’école pour faire un peu n’importe quoi, se réjouir des voyages scolaires, aimer organiser des animations, entendre n’importe quelle sorte de rumeur à son sujet… Je me sentais un peu nostalgique de cette époque à vrai dire pendant ma lecture ! Même si bien souvent je retombe dans l’enfance ! ^^ Les dessins sont tout à fait sublimes. Une personne qui feuillettera rapidement les tomes ne s’en rendra pas compte. Mais lorsque vous êtes plongés dans l’histoire, Yazawa réussit à donner de l’importance au plus petit détail. Ainsi, les mains sont vraiment magnifiques, les sourires… C’est donc un manga que je conseille vivement à tous ceux qui aiment les shojos. Si vous voulez de l’amour avec beaucoup de rebondissement, sans jamais vous ennuyer, lisez-le !! Particularités Les petits clins d’oeils que Yazawa fait à d’autres auteurs, ainsi qu’à ses propres séries, sont toujours les bienvenus ! Ici, elle fait souvent référence à Marie Blue, une série qu’elle a écrite avant Je ne suis pas un Ange, mais qui n’est pas sortie en France actuellement. Elle crée le Sudô-saure, qui va devenir culte ! On aura le plaisir de le retrouver dans Gokinjo il sera une peluche de Tsutomu que Mikako lui volera, pour finir dans les bras de la mère de cette dernière ! On remarquera qu’il est parfois vivant ! O_O, dans Paradise Kiss également, mais aussi dans Nana quelques apparitions. Ken Nakagawa a sa place également ! C’est le chanteur fétiche de Mikako dans Gokinjo, et celui de Miwako dans Paradise Kiss. Sa ressemblance avec un singe lui colle déjà à la peau ! rappelez-vous, dans Gokinjo, Tsutomu qui ressemble comme deux gouttes d’eaux à Ken, est sans cesse comparé à un singe ! Le petit François est là aussi cette adorable peluche qui a une forme de lapin. Dans Je ne suis pas un Ange, Midori se la fait offrir par son père, lors de son anniversaire. On la retrouvera avec plaisir dans Gokinjo peluche et ami préféré de Pî-chan ! Les personnages principaux - Midori Saejima Plutôt appelée l’Ange Saejima ». Elle fait tout pour qu’Akira la remarque. Fille très sensible au bonheur de ses amis, elle n’a cesse que s’occuper de leurs affaires, ce qui en énerver certains. Elève au lycée Hijiri, vice-présidente du comité des élèves, club d’arts plastiques. - Akira Sudô Plutôt appelé Sudô-Saure » dinosaure inventé par Midori, dans le but de le caricaturer. C’est un garçon qui se démarque assez des autres, de part son physique il adopte une coupe ducktail. Il ne vit plus avec ses parents, travaille pour vivre. Il a une petite sœur. Elève au lycée Hijiri, président du comité des élèves. - Yûko Mamiya Plutôt appelée Mamirin ». C’est une fille très austère, discrète, qui est sans cesse en train d’étudier. Elle se comporte comme une fille de bonne famille ». Elle est plutôt agacée par le caractère extraverti de Midori. Elle aime Takigawa en secret depuis le collège. Elève au lycée Hijiri, secrétaire du comité des élèves. - Shûichi Takigawa Plutôt appelé Takigawa-man » référence à Ultraman, un super-héros extraterrestre. Il ne se rend pas compte des sentiments que Mamiya ressent envers lui. Elève au lycée Hijiri, comptable du comité des élèves. - Hiroko Maki Femme que tous les élèves admirent pour sa beauté, qualifiée de femme parfaite ». Elle est très attentionnée. Triste de ne pas vivre avec l’homme qu’elle aime. Elle connaît personnellement Akira. Professeur d’arts plastiques au lycée Hijiri. - Masashi Il aime Melle Maki. C’est un peintre, dont le rêve est de peintre des personnes du monde entier. Il voyage donc beaucoup, et ne voit pour ainsi dire jamais Melle Maki. Il entretient un lien bien particulier avec Akira. Les personnages secondaires - Ken Nakagawa C’est l’ami d’enfance de Midori. Il est chanteur, et fait des petits concerts. Garçon toujours souriant et plein de vie. Il n’oublie jamais l’anniversaire de Midori. - Bunta Kôno Garçon qui paraît insouciant, toujours en train de s’amuser. Il arbore souvent un bonnet d’ours, et pour lui, il n’y a pas plus viril qu’une bonne coupe en brosse ! Elève au lycée Hijiri, secrétaire du comité des élèves, club de rugby. - Shino Harada Fille réputée pour sa beauté auprès des élèves du lycée. Elle est qualifiée de mignonne ». Midori et Mamiya ne l’apprécient pas beaucoup. Elève au lycée Hijiri, présidente du second comité des élèves, club d’arts plastiques. - Mako Taniguchi Petite qui fait très jeune. Elle est amoureuse de Bunta. Fervente supportrice du club de rugby. Elève au lycée Hijiri, comptable du second comité des élèves, club d’arts plastiques. Un art book est sorti, uniquement au Japon. Il n’est tout de même pas bien difficile de vous le procurer ! Si vous aimez la série, n’hésitez pas ! Il est dans le même genre que celui de Gokinjo. Moi, en tout cas, je n’ai pas été déçue du tout, bien au contraire !! Les couvertures Sur le recto de chaque tome figure Midori. Par contre, le recto change pour chaque tome, ainsi que la tranche ! [ 1. Akira Sudô // sur la tranche Schûichi Takigawa. 2. Mamiya Yûko // sur la tranche Shino Harada. 3. Ken Nakagawa // sur la tranche Mako Taniguchi. 4. Akira Sudô // sur la tranche Bunta. ] Quelques illustrations Du même auteur, en France - Gokinjo, une vie de quartier - Paradise Kiss - Last Quarter - Nana
Salutenviron 4 ans passés je suis allée en voyage en Ontario avec ma famille et pendant que nous étions à l'hotel (à Niagara Falls) j'ai dis à ma mère de me prendre en photo avec mon nouvel habit style un peu chinois (je crois pas que ça peut avoir rapport mais bon ) sur la photo on me voit assise de côté avec le verre levé de mon bras gauche
C'est avec ce dessin que j'ai commencé à m'intéresser au dessin ancien et à l'anatomie artistique. Je connaissais ce dessin depuis longtemps comme l'une des études les plus complètes attribuées à Michel-Ange pour la préparation des figures de la chapelle sixtine. Après avoir fait l'étude de nu de l'article précédent, j'ai décidé de travailler le corps humain et l'anatomie artistique et j'ai acheté le livre Anatomy for the Artist de Sarah Simblet. Dans ce livre il y avait des exemples de dessins et de peintures du corps humain par des maîtres dont cette étude de Michel-Ange. Comme ce dessin me fascinait depuis longtemps j'ai décidé de m'atteler à sa reproduction sans savoir à l'époque que la copie de dessin de maître faisait partie du travail d'apprentissage des peintres à la renaissance. Ce dessin me fascinait à deux titres Le traitement Je m'étonnais du rendu, de la façon dont Michel-Ange était parvenu à rendre le modelé du corps. Je souhaitais pouvoir un jour imiter cette façon de dessiner. Je m'étonnais surtout que Michel-Ange ait pu obtenir ce rendu avec une sanguine. Je reviendrai sur ce point plus tard... J'aimais la fougue des lignes, cette façon enlevée de dessiner, de styliser le corps, d'en exagérer les courbes et les volumes. Je sais maintenant qu'elle annonce le courant maniériste. L'anatomie du dos A cette époque, le dos était pour moi un champ de creux et de bosses incompréhensible et je rêvais de pouvoir un jour identifier à quoi ces reliefs correspondaient et être capable de vérifier si l'anatomie dessinée par Michel-Ange était conforme ou non. Ce dessin est actuellement la propriété du musée des Beaux Arts de New York sous cette référence Quand je suis allé à New York, je suis allé au musée des Beaux Arts en grande partie pour voir ce dessin mais malheureusement il n'était pas exposé. Je sais maintenant que ce genre de dessin est très rarement exposé et n'est visible, en cabinet, que pas des spécialistes qui en ont fait la demande. Premier Travail Scan 01 Photo 01 J'ai pris quelques photos de mon dos dans une position similaire afin de pouvoir comparer ce que je voyais avec ce dessin, et j'ai fait cette première étude en faisant un mix du dessin de Michel-Ange et des photos de mon dos. J'ai commencé une première esquisse sur papier teinté avec un mélange que je fais avec la poudre de mes sanguines quand je les aiguise plus de la gomme arabique, aquarelle maison en fait. J'ai travaillé avec une sanguine Conté. Il y a quelques rehauts de blanc Pitt Pastel je les trouve meilleurs que les Conté sur le haut du biceps, du deltoïde, de l'acromion, l'épine et le bord médial de la scapula, la fin du grand rond. A cette étape du travail me viennent plusieurs réflexions J'ai clairement identifié le biceps et le deltoïde sur le dessin de Michel-Ange, c'est à partir de l'acromion que ça se complique. Sur le dessin de Michel-Ange, il y a deux bosses au niveau de l'acromion. Laquelle est vraiment l'acromion ? J'ai enlevé la bosse sur le trapèze du modèle du dessin de Michel-Ange qui part de l'omoplate car pour moi à cette époque elle ne correspondait à rien. J'ai aminci le grand rond, mais peut être le modèle de Michel-Ange avait il un grand rond hypertrophié. Mais ça m'étonnerait et normalement en plus dans cette position, le grand rond ne devrait pas être contracté. Ce qui tendrait à prouver que le modèle de Michel-Ange a certainement tenu la posture en tirant une corde vers le bas. Enfin, j'ai rendu le muscle dorsal que l'on voit sous l'omoplate, plus cohérent parce que Michel-Ange l'a rendu en deux festons. ce que j'ai fait ressemble plus à un dessin du 18 ème siècle surtout à cause des rehauts de blanc et un je ne sais quoi d'indéfinissable dans l'économie de détails et le traitement des ombres... En y réfléchissant davantage, je me rends compte que le traitement de Michel-Ange est plus contrasté. Au point que je me demande s'il n'a pas utilisé un sépia pour les zones sombres. Les formes des muscles sont plus délimitées aussi, le corps plus structuré. On se rend compte que les dessinateurs de cette époque, comme Léonard de Vinci pratiquaient souvent la dissection de corps humains qu'ils allaient parait il déterrer secrètement la nuit. Il y a dans leurs dessins une volonté de montrer la structure du corps, son anatomie De plus Michel-Ange se définissait lui-même avant tout comme un sculpteur, ce qui explique que même en dessinant, il est en train de sculpter. D'ailleurs j'ai lu récemment que quand il dessinait à la plume, il sculptait littéralement le papier. Il y a certainement le fait aussi que les personnes à la renaissance étaient beaucoup plus minces qu'au 18 ème siècle ou du moins que les canons de la beauté recommandaient une extrême minceur et un corps musclé, exactement comme en Grèce antique ce qui parfaitement logique à la renaissance. Il est d'ailleurs étonnant de constater que nous y sommes complètement revenus au 20 ème siécle ! Voilà donc quelques idées pour expliquer le traitement structuré et contrasté des dessinateurs de la renaissance que j'aime tant et qui est à nouveau dans l'air du temps. Traitement que je ne suis pas encore arrivé à produire dans cette copie. Interlude Etude de l'anatomie artistique de l'épaule Après ce dessin j'ai eu besoin de comprendre l’anatomie artistique de l'épaule. J'ai eu beaucoup de mal à trouver des informations expliquant comment dessiner une épaule correctement. A force de recherche et d'observation, j'ai fini par comprendre... Pour dessiner une épaule correctement il y a trois choses essentielles à repérer sur le modèle L'acromion L'épine scapulaire Le bord médial de la scapula notez bien que l'épine de la scapula et le bord médial de la scapula forment un angle à 90 °. En fait c'est souvent assez difficile de repérer ces éléments sur un modèle, et j'en donnerai quelques exemples, mais il y a un truc imparable pour bien les repérer. Le grand secret qui permet de dessiner une épaule comme il faut est que la seule façon d'être sûr d'avoir repéré correctement l'épine scapulaire et le bord médial de la scapula est donné par l'insertion du faisceau inférieur du muscle trapèze. Pas de panique, ce n'est pas aussi compliqué qu'il n'y parait je vais expliquer tout ceci en détail et l'illustrer... Note Voilà ! Ce qui est assez souvent visible sur le dos humain, surtout chez l'homme et plus encore s'il est musclé, c'est le bas du muscle trapèze et le creux dans le dos à l'endroit ou le faisceau inférieur du trapèze s'insère dans l'épine de la scapula. Donc une fois que vous avez ce creux, vous savez où est le trapèze, et surtout, vous savez comment est positionnée l'omoplate. Et quand vous savez positionner l'omoplate, il vous reste à placer les muscles qui s'insèrent dessus et qui sont assez complexes. C'est une vraie tresse - Grand rond qui part du bout de l'omoplate pour aller s'insérer sur la partie non visible de l'humérus - Chef long du triceps qui passe sur le grand rond pour aller s'insérer sur l'omoplate - Petit rond qui passe par dessus le chef long du triceps pour s'insérer sur la partie cette fois-ci visible de l'humérus - enfin infra-épineux qui nappe le reste de l'omoplate et qui cache l'insertion du petit rond sur l'omoplate sur ce dessin les muscle petit-rond et infra-épineux ne sont pas bien représentés. Consultez cet autre article pour une meilleure représentation de ces muscles. Une fois que le trapèze et les muscles de l'omoplate sont placés, l'épaule est pratiquement finie... J'ai continué à m'intéresser à l'anatomie de l'épaule, et en 2014, j'ai fini par comprendre à quoi correspondaient les deux protubérances que Michel-Ange avait dessinées au niveau de l'acromion. L'une était l'acromion, l'autre la clavicule. Michel-Ange avait dessiné avec une grande précision l'articulation entre l'acromion et la clavicule. J'en ai eu la confirmation en tombant sur la photo d'une culturiste Pauline Nordin dont j'ai fait un dessin à la pierre noire. Je fus alors capable d'identifier avec précision l'anatomie artistique de l'épaule gauche de la Sibylle libyque de Michel-Ange On voit bien tout le détail apporté par l'artiste, infra-épineux ou sous épineux, puis insertion du triceps et enfin grand rond. Et Michel-Ange a esquissé le deltoïde sur la partie du triceps qui passe entre le grand-rond et l'infra-épineux. Dans la position qu'a le modèle sur ce dessin, effectivement, cette partie du triceps peut être masquée pas le deltoïde. La beauté du dessin est qu'il laisse toute l'ambiguïté sur ce sujet... Notez aussi le repère dessiné par Michel-Ange pour situer la clavicule et qu'il a aussi fait pour l'épaule droite. Ce qui prouve que dès la renaissance, les artistes plaçaient les repères clés du corps humain pour structurer l'esquisse. Les acromions font partie de ces repères clés, mais il semble que Michel-Ange ait choisi d'indiquer les clavicules... Deuxième Travail J'ai refait une esquisse à main levée la première avait été décalquée pour avoir les proportions exactes du dessin de Michel-Ange. J'ai retravaillé l'épaule gauche en essayant d'adapter le dessin de Michel-Ange avec ce que je comprenais de l'anatomie de l'épaule. Je ne sais plus si j'ai essayé de teindre mon papier avec des craies carrées ou si c'est à force de dessiner, mais à un moment les sanguines ne voulaient plus faire de traits par endroit. Le trait devenait intermittent, ce qui n'arrive pas quand je mouille mon papier et le fais sécher. Je ne sais pas ce que Canson met comme couche sur son papier à esquisses, mais on dirait qu'à un moment donné il devient imperméable aux craies. J'ai donc lavé mon esquisse et cette fois ci, j'ai teinté le papier en jaune avec de l'aquarelle pour qu'il ressemble plus au papier jauni de l'esquisse de Michel-Ange. On voit aussi que le papier a été bien fatigué par cette opération ce qui contribuera à lui donner un cachet ancien... Puis, j'ai décidé de travailler ma propre anatomie de l'épaule et de produire quelque chose de cohérent anatomiquement. Comme je commence assez bien à connaitre l'anatomie de l'épaule maintenant, j'ai donc dessiné l'épine de la scapula, le trapèze par dessus. Puis j'ai dessiné le bord médial de la scapula, les muscles de l'omoplate visibles, infra-épineux, petit rond et grand rond. J'ai fini par dessiner le muscle dorsal. Comme le dessin que j'avais déjà fait de l'épaule gauche était toujours visible malgré le fait que j'aie lavé le dessin et l'aie teinté à l'aquarelle, j'ai dû avoir recours au crayon blanc pour effacer le travail que j'avais fait, et j'ai redessiné par dessus. J'ai redessiné en estompant beaucoup. Je remarque que je prends soin de mieux aiguiser mes sanguines et que le trait et le travail sont plus fins. D'ailleurs en passant, j'ai testé une sanguine STABILO CarbOthello pour le bras droit, et je ne note pas de différence particulière avec une sanguine Conté. Le crayon blanc devait être un Koh-I-Noor. décidément les crayons blancs Conté ne sont pas assez tendres. J'en ai aussi profité pour compléter le bas du dos et aussi dessiner les fessiers de 3/4, car sur le dessin de Michel-Ange, le fessier est complètement de profil une telle torsion du dos est peut être anatomiquement impossible sauf pour une contorsionniste. A vérifier... Michel-Ange s'ingéniait à placer le corps humain dans des positions originales. Il adorait les torsions, les contorsions. Ces corps tordus, ces positions torturées annoncent le courant maniériste daté de 1520-1530, soit une dizaine d'années après le dessin de cette étude. Sur cette photo, j'ai décidé de gommer le coude et une partie de l'avant bras afin de les refaire à la façon Michel-Ange. Après le coup de gomme, j'ai adoré l'effet de lumière intense que ça a donné sur le bras. J'adore quand il arrive des accidents heureux comme celui. Et c'est souvent... je laisse ce bras comme il est, je n'y touche plus. Troisième Travail Photo Scan Pour ce dessin, j'ai essayé de rendre le bras plus féminin, je l'ai aminci, j'ai mis moins de contrastes sur l'avant bras et encore moins sur la main pour améliorer l'impression d'éloignement. J'ai utilisé des éléments du dessin de Michel-Ange pour le bras, mais le traitement est complètement différent, plus dans ce que j'ai l'habitude de faire. D'une manière générale, les artistes contemporains ont du mal à travailler comme à la renaissance car nous sommes habitués à la photographie. Il y a toujours tendance à se rapprocher d'un rendu photographique. Le seul artiste de la renaissance à avoir cherché ce rendu était Léonard de Vinci. Il estompait beaucoup ses dessins, et pour ses huiles, il utilisait beaucoup de glacis afin d'augmenter le fondu de ses oeuvres. C'est ce qui explique certainement la popularité de sa peinture de nos jours et en particulier celle de la Joconde. D'ailleurs, Léonard travaillait tellement en douceur qu'il avait du mal à masculiniser ses sujets masculins. Son Saint Jean Baptiste a un corps de femme. Et a contrario, les autres artistes dessinaient ou peignaient des corps d'homme quand ils devaient représenter la nudité féminine car elle était taboue. Cela fait donc deux types d'androgynie à la renaissance, des hommes avec des corps de femmes pour Léonard, des femmes avec des corps d'hommes pour les autres, comme pour Michel-Ange avec cette Sibylle de Libye. Comme j'ai fait des courbes plus douces et que j'ai beaucoup estompé pour rendre le sujet plus féminin, je suis donc plus proche du rendu de Léonard de Vinci et éloigné de celui de Michel-Ange. En 2014, deux ans après avoir fait ce dessin, j'ai refait une sanguine d'après une des photos de mon dos prise à l'époque. Vendredi 3 octobre 2014 Quatrième Travail encours J'ai beaucoup parlé d'anatomie depuis le début de l'article et je suis parvenu à mon objectif de départ qui était de comprendre l'anatomie de la partie supérieure du dos humain et de vérifier si le dessin de Michel-Ange était correct de ce point de vue. Je me suis d'autre part intéressé au dessin, à la façon de dessiner, sans être parvenu vraiment à obtenir un rendu proche de l'original. Ce n'est qu'en automne 2014 que j'ai réussi à produire une copie proche de l'original du point de vue du rendu seul le visage est finalisé. Explication En septembre 2014 j'ai fait mon deuxième séjour à Florence et j'ai vu beaucoup de dessins de la renaissance italienne. Je me suis aperçu qu'à l'époque les artistes utilisaient essentiellement des crayons de couleur rouge et non des sanguines. J'ai lu qu'il fabriquaient eux-même leurs crayons. J'ai lu un peu plus tard dans ce mémoire, que la sanguine n'aurait été utilisée en Italie qu'au début du 16ème siècle essentiellement par Léonard de Vinci, et ne se serait répandue dans les ateliers italiens bottega que vers le milieu du 16ème siècle. On trouve aussi cette information En italien le terme matita à l'époque de la renaissance désignait surtout la couleur rouge du crayon sans distinguer si c'était du crayon de couleur ou de la sanguine. Ce qu'on appelle sanguine dans les dessins de maîtres est donc ambigu. On ne sait pas très bien ce qu'ils utilisaient. En mai 2015, j'ai fait mon troisième séjour à Florence, et j'ai eu la chance de voir à la Casa Buonarroti plusieurs dessins très célèbres de Michel-Ange qui ont été faits au crayon de couleur noir ou rouge. Ces dessins apparaissent ça et là sur Internet et plus grave encore dans des livres d'art avec la mention pierre noire ou sanguine. Il y a par exemple l'étude de la tête de Léda qui a été réalisée par Michal-Ange en 1530 au crayon de couleur rouge. Il y a donc de grandes chances pour que cette étude de la Sibylle de Libye dessinée par Michel-Ange 20 ans plus tôt ait été réalisée elle aussi au crayon de couleur. Je ne vois pas pourquoi Michel-Ange, pour une étude similaire aurait changé de technique sachant qu'à l'époque l'étude n'a aucune valeur artistique en soi et n'est qu'une ébauche, un plan, un projet, afin d'aboutir à l'oeuvre finale qui elle seule, possède une valeur artistique. N'oublions pas qu'à cette époque l'art est une industrie au service du pouvoir politique et religieux, que les peintres sont plus vus comme des décorateurs que des artistes et que, de ce fait, le dessin n'a pas grande valeur artistique. Ceci explique d'ailleurs pourquoi la plupart des études ont disparu. Elles n'avaient aucune valeur. Certaines ont traversé les siècles malgré tout comme celle de la Sibylle de Libye et celle de la tête de Léda, certainement parce qu'elle sont parmi les plus abouties parmi celles que Michel-Ange a réalisées et que certains collectionneurs éclairés ont dû leur trouver malgré tout une valeur esthétique. Toujours est il que ce n'est qu'après avoir utilisé le crayon de couleur en le mélangeant à la sanguine que je suis parvenu à obtenir un rendu similaire à celui de Michel-Ange * * * Après avoir écrit cet article, j'ai continué à étudier la technique de Michel-Ange et le dessin du corps humain, et ai écrit plusieurs autres articles sur le sujet Comment dessiner comme Michel-Ange Renaissance, sur les traces de Michel-Ange Nu et danse Anatomie artistique de l'épaule Techniques de dessin de la renaissance italienne
Jene suis pas un ange T03. Paru le 17 octobre 2007. Akira voit souvent mademoiselle Maki pour compenser l'absence de Mashasi. Midori se sent abandonnée et
Quand j’ai abordé cette série, j’ai d’abord été rassuré par une préface de l’auteur qui disait qu’il allait nous présenter un héros avec des défauts et qu’il fallait qu’on soit indulgent. Je me suis alors dis que cela ne serait pas un de ces héros sans reproche à la fois charismatique, grand et beau. Bref, je m’attendais à un personnage tourmenté avec une psychologie pour le moins intéressante. Que nenni ! Nous avons droit à un goinfre des hamburgers doublé d’être un peu obsédé avec les femmes…N’empêche qu’il mérite bien les coups de massue qu’il reçoit ponctuellement de la gente féminine ! Et dire que ce n’est que cela la marque de fabrique de cette série. Les situations sont si sommaires que je me suis demandé où pouvait se situer l’engouement pour une telle série. Les méchants sont très vilains. Il n’y a pas de demi-mesure. Pas ma moindre tentative d’explication. Les petites histoires se suivent et se ressemblent toutes. Le dessin est correct puisqu’il se base surtout sur la gestuelle des intervenants. Tout est prétexte à un gag pour souligner l’humour de cette série. C’est divertissant mais sans plus. De manière générale, je n'aime pas quand un manga possède plus de 12 tomes. Cela devient une lecture sans fin qui n'apporte pas d'intérêt.
Celafaisait un petit moment que nous n’avions pas discuté ainsi et ces moments ont été magiques. Le soir, je suis rentré fatigué, par cette bonne journée [4] et peut-être du fait que depuis quelques semaines je dors à peine 4h par nuit. Je me suis couché peu de temps après être rentré chez moi, directement et sans méditer.
Paroles de la chanson Mephisto Iblis par Mc Solaar Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est làLa dame à la faux est là ici comme dans l'au-delà Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là, la dame à la faux est là Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là ici comme dans l'au-delà Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là, la dame à la faux Je suis né sous Balavoine, j'ai grandi sous Balladur Je suis devenu baladin donc j'ai vécu à la dure Puisque je prônais Confucius plutôt que la confusion On m'a jeté dans un cratère avec de la lave en fusion Chiale ap, y a pas péril en la demeure Quand un architecte meurt on dit "que la demeure demeure" D'ici je vois la guerre céleste, boum boum dans les cieux Les anges ont des taurus millenium avec silencieux Et pour me faire barrage, les chérubins sont armés Je peux même pas les shooter, je ne suis qu'un poète Mallarmé Que faire, cogner à la porte du Diable Nan, j'ai tellement combattu ce piétineur de terres arables Il m'appelle, je lui dis "va-t'en", insiste, je lui dis "pas le temps" Je m'éloigne, il me dit "attends" "Qui es-tu ?" Il répond "Satan" Il m'appelle, je lui dis "va-t'en", il insiste, je lui dis "pas le temps" Je m'éloigne, il me dit "attends" "Qui es-tu ?" Il répond "Satan" Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là ici comme dans l'au-delà Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là, la dame à la faux est là En feat avec Iblis, Lucifer, Sheitan, Léviathan Belzébuth le serpent Le Dajjal, le mal, l'antéchrist Le démon triple 6, the Mark of the Beast Je me suis joué de toi, de ta technique, de ta technologie J'ai esquivé tes satellites juste avec un parapluie Maintenant je suis au sol, sans lumière, sans boussole Je sais que quand la nuit tombe c'est l'heure de solder les parasols Non, je ne veux pas de vous en Enfer Vous créez des déserts et vous mettez le feu aux mers Le marché vous a maqués et vous marchez comme des laquais Ce calcul égoïste va vous plonger dans des eaux glacées Assez de cette haine, quatorzième lettre N C'est qu'il y a problème on ne veut même pas de vous dans l'Eden Du couchant au levant vous avez mandat pour le combat Des lubies culinaires extravagantes, tartare de quenda Vous cassez la cohésion, additionnez les divisions Multipliez les pollutions, excommunication C'est dans mes cordes, je fais ce que j'ai à faire Vous, semez la discorde, retournez sur la Terre Un faux prélat est là et là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là ici comme dans l'au-delà Un faux prélat est là, hélas pour lui Claude est là La dame à la faux est là, la dame à la faux est là En feat avec Iblis, Lucifer, Sheitan en Léviathan Belzébuth le serpent Le Dajjal, le mal, l'antéchrist Le démon triple 6, the Mark of the Beast
Aprèsje ne suis sûrement pas objective puisque je suis une grande fan de Gunnm Si t'as un lien avec des scans en français je suis preneur, ça sera dans ma liste de lecture avec Vagabond et la est Le site pour lire le scan Je Ne Suis Pas Un Ange Volume 1 VF en ligne rapidement. partagez notre site avec vos amis. Je Ne Suis Pas Un Ange Volume 1, Je Ne Suis Pas Un Ange Volume 1 FR, Je Ne Suis Pas Un Ange Volume 1 VF Lecture En Ligne Volume Suivant Je Ne Suis Pas Un Ange Volume 2 VF . 491 10 344 96 359 379 21 129

je ne suis pas un ange scan